140:Taken qui a fait un carton aux USA, NDLR), et enfin, après avoir lu le script, vous trouvez le personnage passionnant et puissant. Donc vous n’avez aucune raison de ne pas dire oui !
niveau cascades, ce rôle était un des plus ambitieux de ma carrière. J’ai déjà fait beaucoup de films d’action, mais jamais à ce niveau‑là d’implication pour mon personnage. Et l’idée que Pierre et Luc imaginaient que je pouvais le faire, à mon âge, était une motivation supplémentaire pour moi. Je me disais : « S’ils pensent vraiment que je peux escalader, de haut en bas, droite à gauche, tomber, tirer, sauter sur des toits et tomber sur un gang… et le faire moi‑même, je ne vais quand même pas les décevoir ».
[qAvez‑vous réalisé toutes les cascades ? je viens à Paris depuis trente‑cinq ans et j’ai toujours voulu y tourner un film. Voilà, c’est fait. En ce qui concerne la banlieue, toute l’équipe, Jonathan Rhys‑Meyer et moi‑même, nous avons été accueillis comme des rock‑stars. Les banlieues françaises ressemblent à toutes les autres banlieues du monde entier. Et il y a des tas de gens qui m’aiment et qui vont voir mes films dans ces banlieues, donc je n’avais vraiment aucune raison d’appréhender ou de me sentir mal à l’aise. J’ai adoré tourner chez vous.
[qDans From Paris with Love, il y a un clin d’œil à Pulp Fiction de Tarantino avec le fameux Royal Cheese. Est‑ce uniquement un clin d’œil, ou aimez‑vous vraiment les Royal Cheese ?
JT : bien sûr que je les aime. Vous connaissez quelqu’un qui ne les aime pas ? (rires).