28 jours plus tard
28 Days Later
Année : 2002
Réalisateur : Danny Boyle
Casting : Cillian Murphy, Naomie Harris, Christopher Eccleston, Brendan Gleeson, Megan Burns, Noah Huntley
Éditeur : Fox
BD : BD-50, 113', zone B
Genre : horreur, couleurs
Interdiction : - de 16 ans
Sortie : 05/01/11
Prix ind. : 19,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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1.85
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HD 1 080p (AVC)
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16/9 natif
Bande-son
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Français DTS 5.1
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Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
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Allemand DTS 5.1
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Italien DTS 5.1
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Russe DTS 5.1
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Espagnol Dolby Digital 5.1
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Portugais Dolby Digital 5.1
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Sous-titres
Français, anglais pour sourds et malentendants, portugais, allemand, danois, espagnol, néerlandais, polonais, turc...
Après le raid d’un commando de la protection animale dans un laboratoire d’expérimentation, un mystérieux virus s’est répandu parmi la population. Vingt‑huit jours plus tard, Londres n’est plus qu’une ville fantôme, et les rares rescapés se terrent afin d’échapper aux porteurs du virus animés d’une rage incontrôlable. C’est alors que Jim, un jeune coursier, sort d’un profond coma…
28 jours plus tard n’est pas à proprement parler un film de zombies, mais la tension et l’impact de certaines séquences donnent vraiment froid dans le dos. Efficace et apocalyptique, même près de dix ans après sa sortie en salles.
Carina Ramon - Publié le 07/09/11
Cinécult' Films catastrophes, autopsie d’un genre :
Incapables de satisfaire un public toujours plus exigeant en matière de sensations fortes et d’effets spéciaux, début des années 90, les films catastrophes avaient peu à peu disparu des écrans de cinéma. Mais depuis quelques années, l’image de synthèse high‑tech a redonné forme aux projets les plus fous, permettant de remettre en selle un genre moribond. Entre‑temps, c’est la nature même de la catastrophe ‑ainsi que la qualité de sa reconstitution‑ qui a changé. Finis les paquebots modèles réduits plongés dans un verre d’eau, terminés les avions miniatures agités par des fils, bye bye les vilains monstres Destructor. L’heure est aux séismes, aux tornades (plus vraies que nature) et autres créatures dévastatrices. Bienvenue dans le cinéma du « réel ».
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Bonus
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Commentaires audio de Danny Boyle et Alex Garland |
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Scènes inédites (9') |
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Fins alternatives (19') |
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Making of (24') |
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Clip vidéo |
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Galerie de production commentée (18') |
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Diaporama avec introduction (4') |
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Story-boards animés |
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Bandes-annonces |
Une interactivité inégale, réjouissante lorsqu'elle donne la parole à Danny Boyle et son scénariste lors de commentaires audio enthousiastes et très informatifs, décevante lorsqu'elle prend les atours d'un making of trop classique. Ne manquez pas les nombreuses fins alternatives, qui laissent entrevoir un film parfois tout à fait différent de ce qu'il est au final. |
Image
S'il est bien un film dont il ne faut rien attendre en Blu-Ray, c'est bien 28 jours plus tard. Non pas que le long métrage ne soit pas assez bon pour mériter les honneurs du support, bien au contraire. Mais là où même les grands classiques profitent techniquement du passage à la galette bleue grâce à la définition naturellement élevée de leur support pelliculé, 28 jours plus tard, quasi intégralement tourné en caméra DV (format numérique en définition standard), ne peut trouver de nouvelle jeunesse en haute définition. Contours flous, grain vidéo, définition à l'ouest... Et tout cela est normal, inutile de pester contre l'éditeur. Il n'empêche que le transfert respecte à la lettre les intentions de Danny Boyle, et c'est bien l'essentiel. |
Son
On regrettera un mixage global assez frontal avec des enceintes arrière utilisées avec parcimonie, et ce quel que soit le format choisi. La dynamique reste toutefois satisfaisante, avec des dialogues se détachant naturellement. La VO DTS-HD Master Audio 5.1 est bien sûr la piste à privilégier pour profiter du meilleur rendu. |