Defiance saison 2

Année : 2014
Créateur : Rockne S. O'Bannon
Casting : Grant Bowler, Julie Benz, Tony Curran, Jaime Murray, Stephanie Leonidas, Mia Kirshner
Éditeur : Universal
BD : 3 BD-50, 12 x 44', zone B
Genre : science-fiction, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 14/10/14
Prix ind. : 34,99 €
sans Must AV
Critique

Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
1.78
HD 1 080p (AVC)
16/9
Bande-son
Français DTS 5.1
Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
Allemand DTS 5.1
Espagnol DTS 5.1
Sous-titres
Français, anglais pour sourds et malentendants
Amazon
32,99 €
Retour à Defiance (voir test de la saison 1), ex‑ville de Saint‑Louis après que la Terre ait servi de terrain d'atterrissage d'urgence à diverses populations extraterrestres. Fuyant leur système solaire mourant, les sept espèces de Votans cohabitent donc désormais plus ou moins aimablement avec les humains. Parmi eux, le shérif‑baroudeur‑joli cœur Nolan (Grant Bowler), l'ex‑maire de Defiance Amanda Rosewater (Julie Benz), désormais maquerelle glams, Stahma Tarr (Jaime Murray), Castithan aussi sensuelle que vénéneuse, et Irisa, la fille adoptive alien de Nolan qui va, au cours de cette saison, donner bien du fil à retordre à son papounet et risquer tout simplement de faire disparaître les derniers survivants de la première catastrophe.

C'est dans ce monde post‑apocalyptique joyeusement bordélique que ces freaks venus de toute part vont se tendre des pièges en tous genres, jouer serré pour asseoir leur pouvoir, échafauder les pires combines pour écraser leurs congénères, abuser de leurs dons extraordinaires et parfois aussi, tomber amoureux…

Une seconde saison qui monte en gamme (une vraie bonne surprise) sans toutefois dépasser le stade de la gentille série de SF inoffensive.
Carina Ramon - Publié le 31/10/14
Bonus
- Fin alternative de la saison 1 en VOST commentée par Kevin Murphy (4')
- Scènes coupées (24')
- Bêtisier (6')
- 5 mini‑épisodes : les êtres perdus (25')
- Jesse Rath tourne Defiance (22')
- Copie digitale UV

Un : plus de bonus que lors de la saison 1. Deux : un petit tour backstage sympa comme tout en compagnie du jeune comédien Jesse Rath (Alak dans la série) dans le but de nous faire découvrir les dessous du maquillage et des costumes pour devenir tous les jours un Castithan plus vrai que nature (et parler sa langue, bien entendu). Trois : des épisodes inédits et un bêtisier regardables.
Note bonus : 3/6
Image
Le manque de moyens se fait clairement moins sentir cette année, avec des effets spéciaux plus nombreux et plus cossus. Cette nouvelle saison s'ouvre aussi sur de nouveaux espaces, dévoilant des décors et des contrées jusqu'ici inconnus. Bref, on respire. La lumière froide (tournage à Toronto oblige) confère enfin à la photographie de la série un petit côté jeu vidéo très assumé. Avec ce piqué‑là et cette définition, cela nous convient très bien.
Note image : 5/6
Son
C'est indéniablement la VO DTS-HD Master Audio 5.1 qui emporte l'adhésion. Riche en détails sonores à l'arrière, elle propose une immersion plus active dans l'ambiance bizarroïde de la série et des voix originales qui font toute la différence. Bonne surprise : le Satan your Kingdom Must Come Down de Robert Plant sur le dernier épisode (titre déjà utilisé sur l'excellente série Boss cela dit). La VF « simple » DTS propose un mixage identique pour les sons d'ambiance, mais moins d'impact dans les graves et moins de dynamique.
Note son : 4/6


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