Imitation Game
The Imitation Game
Année : 2014
Réalisateur : Morten Tyldum
Casting : Benedict Cumberbatch, Keira Knightley, Matthew Goode
Éditeur : Studiocanal
BD : BD-50, 115', zone B
Genre : drame historique, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 02/06/15
Prix ind. : 19,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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2.35
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HD 1 080p (AVC)
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16/9
Bande-son
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Français DTS-HD Master Audio 5.1
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Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
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Français en Audiodescription
Sous-titres
Français, français pour malentendants
D'un sujet qui n'est a priori pas forcément grand public (l'histoire d'Alan Turing, le mathématicien anglais qui perça le code de l'outil de communication des Allemands durant la Seconde Guerre mondiale : la machine Enigma), Morten Tyldum a fait un bel objet cinématographique.
Un film à Oscars par excellence à l'académisme un peu austère, mais à la photographie, à l'ambiance musicale et à l'interprétation remarquables. Benedict Cumberbatch (Sherlock) capte d'ailleurs immédiatement l'attention et incarne avec justesse ce génie ambivalent, hautain et arrogant (ce qui n'était toutefois apparemment pas le cas du vrai Turing). En filigrane, le rejet de ses semblables dont il a toujours fait l'objet, son homosexualité à une époque où elle était bannie et sa fin tragique qui donnera le célèbre logo d'Apple (Turing croquera une pomme au cyanure pour mettre fin à ses jours).
Au final, sans prendre le moindre risque, ce thriller historique reste un film solide. Dans la lignée d'Un homme d'exception.
Éric Le Ven - Publié le 20/04/15
Bonus
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Making of (23') |
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Scènes coupées (4') |
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La création de Imitation Game (2') |
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Alan Turing : l'homme qui décrypta Enigma (2') |
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Les héros de Bletchley Park (3') |
Une interactivité un peu courte qui ne fait que survoler la thématique et les rouages de la fabrication du film. Et encore une fois, trop d'images du film en lui‑même. Le making of de 23 minutes nous en apprend un peu plus sur le fondateur de l'informatique et reste le sujet le plus intéressant. |
Image
L'image et la photographie ont du charme, les couleurs (volontairement filtrées et brunâtres) sont élégantes, la définition magistrale et les contrastes classieux. C'est propre, net et précis. Belles mises en époques (trois différentes). Que demander de plus ? |
Son
La musique d'Alexandre Desplat ne laisse pas indifférent et constitue la seule véritable matière de ces deux pistes 5.1 à la structure classique mais remarquables de présence et de densité. VO obligatoire pour le jeu de Benedict Cumberbatch et la toujours élégante Keira Knightley. |