Un après-midi de chien
Dog Day Aftermoon
Année : 1976
Réalisateur : Sidney Lumet
Casting : Al Pacino, John Cazale, James Broderick, Penelope Allen, Charles Durning, Lance Henriksen
Éditeur : Warner
BD : BD-50, 124', zone B
Genre : drame, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 23/09/15
Prix ind. : 14,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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1.75
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HD 1 080p (VC-1)
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16/9
Bande-son
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Français Dolby Digital 1.0
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Anglais DTS-HD Master Audio 1.0
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Allemand Dolby Digital 1.0
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Italien Dolby Digital 1.0
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Espagnol Dolby Digital 1.0
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Portugais Dolby Digital 1.0
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Hongrois Dolby Digital 1.0
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Polonais Allemand Dolby Digital 1.0
Voir plus
Sous-titres
Français, anglais/allemand/italien pour malentendants, espagnol, hongrois, portugais, grec, roumain, polonais, turc, chinois
Sonny et Sal, deux malfrats amateurs (Al Pacino et John Cazale), décident de braquer une banque en plein New York et en plein milieu de l’après‑midi. Mais le piège se referme rapidement, ils se retrouvent cernés par la police. En même temps, la foule s’amasse aux abords de la banque et prend parti pour les deux hommes.
Réalisé par Sidney Lumet (Network) en 1975, Un après-midi de chien est un classique du cinéma américain des années 70, une sorte de cousin de Macadam Cowboy de Schlesinger et de L’épouvantail de Schatzberg. Au‑delà du genre, le film explore l’envers du rêve américain sur fond de précarité et d’échec social. Al Pacino trouve ici l’un des meilleurs rôles de sa carrière. Indispensable.
Jean-Baptiste Thoret - Publié le 11/09/15
Bonus
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Commentaire audio de Sidney Lumet en VO uniquement |
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L'histoire du film (12') |
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Polémique à propos du casting (13') |
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Reconstitution des faits (21') |
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L'après-tournage (11') |
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Regard de Sydney Lumet (10') |
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Bande-annonce |
On retrouve les mêmes bonus que sur la dernière édition DVD Collector parue en juin 2006, à ceci près que le gros sujet de 58 minutes a été découpé en différents modules. C'est toujours aussi passionnant. On ne se lasse pas d'entendre Sidney Lumet raconter comment il a tourné l'ouverture du film à la dérobée, tout seul un dimanche de canicule comme tant d'autres, ou encore comment Al Pacino a tout fait pour faire tourner John Cazale à ses côtés. Le comédien, d'ailleurs peu satisfait de sa moustache lors du visionnage des rushs dès le premier jour de tournage, a préféré tout recommencer le lendemain pour mieux coller à son personnage. Personne ne s'y opposa. |
Image
Peu de choses à reprocher à l’image de ce grand classique du cinéma hollywoodien des années 70, si ce n’est la présence de quelques signes d’usure et de petits fourmillements en arrière‑plan. La HD n'a rien à voir avec celle de films récents, mais l’ensemble a néanmoins fière allure et les quelques passages autrefois bouchés ont disparu. En bref, un film revigoré. |
Son
Oubliez la VF, pauvre en dynamique, notamment au niveau des dialogues. La VO, en plus de proposer le jeu original de Pacino et Cazale, se fait plus dense et propose davantage de détails. Et si la scène sonore reste centrée voire ramassée, les belles voix et les bruits d'ambiance font tout le charme de cette piste mono VO. Du pur Seventies. |