Automata

Autómata
Année : 2014
Réalisateur : Gabe Ibanez
Casting : Antonio Banderas, Birgitte Hjort Sorensen, Dylan McDermott, Robert Foster, Melanie Griffith
Éditeur : Metropolitan Film & Vidéo
BD : BD-50, 109', zone 2
Genre : science-fiction, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 05/10/15
Prix ind. : 19,99 €
sans Must AV
Critique

Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
2.40
HD 1 080p (AVC)
16/9
Bande-son
Français DTS-HD Master Audio 5.1
Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
Sous-titres
Français
Amazon
19,99 €
Dans un futur proche, les derniers hommes survivent grâce à des robots dont le comportement est réglé par deux protocoles. Jacq Vaugan, agent d’assurances de ROC, le constructeur des « automates », découvre par hasard que certaines machines ont trouvé moyen de violer le second protocole censé leur interdire de se réparer ou s’améliorer elles‑mêmes.

Le réalisateur Gabe Ibanez ne cache pas d’évidents clins d’œil à Blade Runner ou A.I. et une vraie volonté de créer un film de SF à l’ancienne questionnant l’émergence d’une intelligence artificielle. Autant de nobles ambitions qui se disloquent vite tant Automata est desservi par un scénario qui multiplie impasses, non‑dits et, à l’occasion, graves incohérences. Très rapidement, le film ne raconte plus grand‑chose, mais persiste à prétendre le contraire avec une certaine grandiloquence.

Les acteurs eux‑mêmes paraissent se rendre compte du naufrage : aucun n’est au rendez‑vous si l'on excepte la brève apparition de Melanie Griffith dont le visage, intégralement retouché par les chirurgiens, esthétiques fait un troublant écho avec la thématique du film. On ne peut guère se consoler en prisant simplement le look de certaines scènes tant celles-ci n’ont pas la moindre logique cinématographique ou dramatique, à l’image du piteux règlement de comptes final.
Paco Altura - Publié le 02/10/15
Bonus
- Coulisses du film (4')

Une courte featurette sans saveur et sans attrait.
Note bonus : 1/6
Image
Une image précise et détaillée qui déploie de belles couleurs et des noirs profonds lors des scènes nocturnes, et sait ne pas « brûler » les paysages, notamment lors de l'interminable traversée du désert blanc.
Note image : 4/6
Son
VF et VO se valent pour simplement restituer les voix au mieux. Le Home Cinéma ne se réveille un peu que lors d'une unique (et brève) poursuite automobile.
Note son : 3/6



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