Nazareth : No Means of Escape
Année : 2014
Réalisateur : Ramy Dance
Inclus : 13 titres dont Love Hurts, Expect No Mercy, Bad Bad Boy, Razamanaz…
Éditeur : Eagle Vision
BD : BD-50, 60', toutes zones
Genre : concert, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 16/10/15
Prix ind. : 19,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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1.78
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HD 1 080i (AVC)
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16/9
Bande-son
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DTS-HD Master Audio 5.1
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PCM 2.0
No Means of Escape est un concert privé enregistré en novembre 2014 dans les studios Metropolis de Londres devant un petit parterre de fans que l'on aperçoit vaguement de dos, des chopes de bière à la main.
Une heure pile de récital comprenant les principaux hits du groupe de hard rock écossais sortis dans les années 70/80, dont l'inévitable Love Hurts et l'excellent See You See Me (1989). La voix de Dan McCafferty (qui n'est pas sans rappeler celle de Brian Johnson d'AC/DC) fait toujours des merveilles, mais la captation sonore et le montage vidéo à la volée sont plus discutables.
Heureusement, ce concert privé est complété par le documentaire Made in Scotland qui raconte la longue carrière du groupe depuis sa formation en 1968, sa percée dans les années 70 et son succès continu jusqu'à aujourd'hui.
Éric Le Ven - Publié le 04/11/15
Bonus
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Made in Scotland (52') |
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Session acoustique de Sunshine (4') |
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Interviews de Dan McCafferty et Pete Agnew (43') |
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Meet the Superstars (14') |
Réalisé à partir d'archives et de nouvelles interviews des membres actuels et passés du groupe, dont le chanteur Dan McCafferty, le doc Made in Scotland est la pièce maîtresse de cette interactivité enrichie d'une version acoustique de Sunshine et d'autres interviews plus anecdotiques. |
Image
La captation a beau être récente et réalisée avec les moyens actuels, l'image est franchement moyenne. La mise en scène, le montage et l'orchestration des lumières rendent, en effet, la petite scène londonienne particulièrement fade et sans envergure. |
Son
Le son n'est pas bien meilleur. Hormis la voix de Dan McCafferty, le rendu se montre faiblard, les guitares trop pincées, la basses trop en retrait et les percussions inexpressives. Et que ce soit en PCM ou en DTS-HD Master Audio, c'est la même déception. |