Antigang
Année : 2015
Réalisateur : Benjamin Rocher
Casting : Jean Reno, Alban Lenoir, Caterina Murino, Oumar Diaw, Thierry Neuvic, Jakob Cedergren
Éditeur : M6 Vidéo
BD : BD-25, 92', zone B
Genre : action, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 19/12/15
Prix ind. : 14,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
•
2.35
•
HD 1 080p (AVC)
•
16/9
Bande-son
•
Français DTS-HD Master Audio 5.1
•
Français DTS-HD Master Audio 2.0
•
Audiodescription
Sous-titres
Français pour sourds et malentendants
Serge Buren (Jean Reno), flic chevronné, a du pain sur la planche. Les bijouteries et les banques de la capitale sont la proie de braquages de plus en plus sensationnels. Avec son équipe de jeunes collègues, il tente de démanteler le dangereux réseau. Toutefois, le recours à des méthodes peu conventionnelles (à coups de batte de baseball par exemple) est fermement désapprouvé par Becker (Thierry Neuvic), son supérieur.
Avec Antigang, Benjamin Rocher, co‑réalisateur de La horde (2009) et Goal of the Dead (2014), quitte le cinéma d’horreur pour s’aventurer sur les plates‑bandes du polar coup de poing, façon Olivier Marchal (36 quai des Orfèvres, MR73).
On sent également l’influence écrasante de Michael Mann (Heat) avec l’irruption de ces braqueurs masqués et la figure du flic fatigué. Mais n’est pas Al Pacino qui veut : dès sa première réplique Jean Reno flingue son personnage. Il dit ainsi adieu à toute tentative d’aura solitaire en taxant le « Club des 27 » (artistes morts à l'âge de 27 ans) de toxicos et mythifiant Johnny. Certes, le ton est donné mais ce décalage assumé mine la violence viscérale du propos. Les séquences de bastonnades (musclées mais souvent parodiques et la bande‑son n’arrange rien) ou de courses‑poursuites ne suffisent pas.
Carole Lépinay - Publié le 08/02/16
Bonus
- |
Affiche alternative |
- |
Bande-annonce |
- |
Teaser |
Image
C'est froid et pas forcément mémorable sur le plan esthétique, mais nickel chrome en HD. Tout est maîtrisé, même dans les sous‑sols peu éclairés. Un peu plus de charme, de patine, et la note grimpait d'une étoile. |
Son
Une très bonne scène sonore en 5.1, appuyée quand il le faut par les basses. Pas de doute, la partie sonore a été travaillée et le résultat est péchu à souhait. En revanche, la musique ne laissera pas un grand souvenir. |