Belgica

Année : 2016
Réalisateur : Felix van Groeningen
Casting : Stef Aerts, Tom Vermeir, Stefaan De Winter, Dominique Van Malder
Éditeur : FranceTV Distribution
BD : BD-25, 127', zone B
Genre : comédie dramatique, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 06/07/16
Prix ind. : 19,99 €
sans Must AV
Critique

Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
2.40
HD 1 080p (AVC)
16/9
Bande-son
Français DTS‑HD Master Audio 5.1
Flamand DTS‑HD Master Audio 5.1
Sous-titres
Français imposé sur la VO, français pour malentendants, français Audiodescription
Amazon
19,99 €
Jo (Stef Aerts) et Frank (Tom Vermeir) sont deux frères au profil complètement différent. Ce dernier, père de famille a priori bien rangé, ne tarde pas à se laisser embarquer dans la petite affaire du frangin : l’ouverture de son propre bar à Gand, le Belgica, et le début d’une vie mouvementée de noctambules.

En nous ouvrant les portes du Belgica, ancien bouge à pochetrons converti en bar branché transgénérationnel, Felix Van Groeningen (réalisateur du poignant Alabama Monroe, César du Meilleur film étranger, Prix du public au Festival de Berlin) propose une immersion fortement alcoolisée dans un espace propice à la transgression des interdits.

Rock and roll en diable, le fameux lieu de perdition (comme le nomme à juste titre l’un des frangins partenaires) aligne autant de rails de coke que de nanas délurées. Et pourtant, ce qu’ils croient représenter un havre fédérateur met bientôt leur complicité à rude épreuve. Pas facile d’associer la famille et le travail de nuit… Il n’en demeure pas moins que l’ambiance au Belgica est assurée avec sa bande originale signée Soulwax, un prodigieux binôme belge électro‑rock.
Carole Lépinay - Publié le 26/08/16
Bonus
- Création du logo Belgica (1')
- Clip exclusif de The Shitz : How Long (4')

Stef Aerts et Tom Vermeir, les deux frangins du film, assistent en direct à la création du logo de leur futur « lieu de perdition » (en fait une scène coupée du film), et optent sans hésitation pour l'élan + rhino. En plus, un clip inédit pour prolonger la liesse au Belgica. Rien malheureusement sur le choix de la musique et le travail de Soulwax une année durant, qui a créé seize groupes fictifs pour les besoins du film. Seize titres enregistrés live dans le club du film, le Belgica, inspiré du café Le Charlatan.
Note bonus : 2/6
Image
C'est roots, brut, parfois terne et peu précis, mais plutôt stylé en fin de compte et assez bien rendu malgré des conditions difficiles (beaucoup de scènes de nuit, des néons, des extérieurs grisous…). Une ambiance qui colle complètement au propos du film. On aurait juste aimé se rapprocher davantage de l'univers des clichés N&B dévoilés sur le générique de fin.
Note image : 4/6
Son
La musique est incontestablement le point fort du film. En VO s'entend ! Oubliez tout de suite la VF et sa dynamique complètement éteinte ! Les nombreux passages musicaux (les groupes se produisant au Belgica) font vibrer les enceintes de toutes leurs basses. C'est dynamique, pêchu, dense et à la limite de la saturation (on est dans l'excès, mais c'est le thème même du film). Soulwax mitonne une BO d'enfer, entre électro et fanfare punk‑rock. On adore.
Note son : 5/6



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