Saint Amour
Année : 2016
Réalisateurs : Benoît Delépine, Gustave Kervern
Casting : Guillaume Depardieu, Benoît Poelvoorde, Vincent Lacoste, Céline Sallette, Chiara Mastroianni, Michel Houellebecq
Éditeur : Le Pacte
BD : BD-50, 101', zone B
Genre : comédie, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 06/07/16
Prix ind. : 19,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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1.85
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HD 1 080p (AVC)
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16/9
Bande-son
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Français DTS-HD Master Audio 5.1
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Français DTS-HD Master Audio 2.0
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Français Audiodescription 2.0
Sous-titres
Français pour malentendants
Chaque année, Bruno (Benoît Poelvoorde) fait la route des vins à sa façon, en faisant le tour des stands au salon de l’agriculture. Présent à l’événement, son père Jean (Gérard Depardieu) décide de l’emmener faire un vrai tour des vignobles français. Les voilà embarqués dans le taxi de Mike (Vincent Lacoste), parés pour de grandes aventures éthyliques.
Sous couvert de périple dionysiaque, Benoît Delépine et Gustave Kervern (Mammuth, Le grand soir) célèbrent la femme et l’indéfectible lien filial. Entre deux ballons de rouge (façon de minimiser), père et fils embarquent pour un road‑movie hédoniste, la route permettant autant de rencontres féminines que de joyeuses séquences d’ébriété.
Servi par un sympathique trio d’acteurs (à noter Michel Houellebecq dans un petit rôle fendard), Saint Amour est une authentique ode au plaisir.
Carole Lépinay - Publié le 27/09/16
Bonus
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Échappements libres (56') |
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Comédiens sur le tournage (2') |
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Entretien avec les réalisateurs (13') |
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Bande-annonce |
Des bonus de qualité qui méritent d'être vus, notamment Échappements libres, sorte de making of doublé d'un retour sur les précédents films du duo. On en apprend beaucoup sur la manière de tourner de Delépine et Kervern, de la manière la plus brute possible. À voir. |
Image
Une méthodologie de tournage brute, sans ajouts extérieurs, qui ne cherche pas à faire beau mais à faire vrai. Un style proche du documentaire qui apporte beaucoup de vie à l'image mais aussi son lot de petits désagréments comme des scènes sombres qui fourmillent et un manque de précision général. |
Son
La musique originale de Sébastien Tellier se marie parfaitement avec la prise de son direct du film, riche d'ambiances et de dialogues (pas toujours très audibles sur la partie au salon). On apprécie l'énergie qui s'en dégage, la vie qui irrigue le cadre. D'autant que le 5.1 propose une aération assez large sur les enceintes. Ça respire ! |