Transformers : the Last Knight

Année : 2017
Réalisateur : Michael Bay
Casting : Mark Wahlberg, Laura Haddock, Laura Haddock, Anthony Hopkins
Éditeur : Paramount
BD : 1 UHD BD-99 + 2 BD-50, 154', toutes zones
Genre : action, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 02/11/17
Prix ind. : 29,99 €
sans Must AV
Critique

Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
1.85
UHD 2 160p (HEVC)
HDR10
HDR Dolby Vision
16/9
Bande-son
Français Dolby Digital 5.1
Anglais Dolby Atmos
Anglais Dolby TrueHD 7.1
Anglais Audiodescription
Espagnol Dolby Digital 5.1
Italien Dolby Digital 5.1
Japonais Dolby Digital 5.1
Voir plus
Sous-titres
Français, anglais, anglais pour sourds et malentendants, espagnol, italien, japonais, danois, néerlandais, norvégien, finnois, suédois
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29,99 €

Transformers, cinquième édition. Qui dit mieux ? Belle longévité pour des robots extraterrestres made in Hasbro qui se battent et se transforment, parfois les deux en même temps. Shia LaBeouf n'est plus là, remplacé par Mark Wahlberg, plus désabusé que jamais. Megan Fox non plus, même si la petite nouvelle, Laura Haddock, lui ressemble étrangement. Bref, il fallait un truc, un truc qui claque. Game of Thrones quoi. Attention, toute ressemblance avec une certaine série à succès est loin d'être fortuite…

 

Visiblement en manque d'idées fraîches pour renouveler une franchise qui n'intéresse plus grand monde, Michael Bay pond un prologue guerrier tout droit sorti de la série à succès de HBO, vaine tentative d'ancrer ses robots dans une mythologie épique. Rien n'y fait, une poignée de séquences plus tard, les combats reprennent à notre époque, alors qu'une bande d'enfants se retrouve coincée dans une rixe entre Autobots et forces de l'ordre. Une petite frondeuse en herbe qui n'a peur de rien prend les choses en main et ramène définitivement le film dans la trousse du jeune public.

 

S'ensuit un enchaînement de séquences vides de sens, montées à toute allure sur une trame invisible et affublées de bruitages atroces. Et puis arrive Anthony Hopkins, bref regain d'intérêt avant de sombrer définitivement dans un monde ouaté sans robots. Le rêve.

Carina Ramon - Publié le 20/11/17
Bonus
- Blu-Ray du film + Blu-Ray bonus

N'ayant reçu que le disque 4K UHD, nous n'avons pas été en mesure de voir les bonus. Zéro pointé en nombre d'étoile de notre côté.

Note bonus : 0/6
Image

Tourné majoritairement en Imax en 6,5K avec télécinéma 2K et produit en Dolby Vision, Transformers : the Last Knight a tout sur le papier pour être la démo presque parfaite. D'autant qu'il se murmure que Michael Bay a particulièrement veillé à rehausser et réchauffer les couleurs (merci le gamut étendu).

 

Effectivement, les gros plans sur les visages sont sublimes de précision et les couleurs aussi denses et brillantes que possibles dans un univers particulièrement noirci en proie à un tsunami d'effets spéciaux. Si ces derniers restent impressionnants en qualité et en nombre, on ne peut pas dire non plus que l'ambiance techno du film profite réellement du passage à la 4K. On n'y voit même pas très clair lors des plus grosses scènes d'action. Une impression mitigée doublée d'un sentiment de déjà‑vu induit par le film lui‑même qui, esthétiquement parlant, ne propose rien de réellement neuf ni de révolutionnaire. D'aucuns le trouveront même plutôt moche, dénué de matière et d'émotion. D'autres apprécieront le souci du détail comme les fonds d'image très définis, même lors de scènes sombres, ou encore les noirs boostés par le Dolby Vision. 

 

Pour le supplément d'âme en revanche, il faudra repasser. Le HDR fait ce qu'il peut, mais ne peut pas tout, d'autant que sur un écran non compatible Dolby Vision, le rendu HDR10 est un cran en‑dessous.

Note image : 5/6
Son

On a failli perdre l'audition. Un festival de tôle froissée, de carlingues malmenées et de bouts d'acier qui s'entrechoquent, Transformers : the Last Knight remplit son contrat de bruit et de fureur. Les basses sont volontiers mises en avant dès le début du film avec des boules de feu tirées dans tous les sens. Et ce n'est que le début du déluge Dolby Atmos qui se régalera de la moindre séquence pour la transformer en locomotive à décibels ou des grosses Bertha dévastatrices à l'image crash de l'escadrille d'hélicoptères avec débris qui volent dans tous les sens. 

 

On n'en ressort lessivé, exsangue mais rassuré quant au bon fonctionnement de notre système Dolby Atmos, paré pour en découdre coûte que coûte. Si on enlève la technique pure (irréprochable, il faut bien l'avouer), un grand moment de massacre auditif et de labourage sonore à mille lieues de toute volonté d'équilibre. D'où une importante perte d'étoiles en note technique.

 

Un mot sur la VF qui, en comparaison, apparaît totalement anémiée, sans compter le ridicule des doublages français.

Note son : 4/6



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