- Scènes coupées et versions longues (7')
- Bienvenue à Berlin (5')
- Les blondes ont plus de cran (7')
- Le maître de l'espionnage (4')
- Anatomie d'une scène de combat (8')
- Histoire en mouvement : l'agent Broughton et la poursuite (4')
- Commentaires audio du réalisateur et de sa monteuse islandaise
De courts modules plutôt sympatiques à suivre, des décors du Berlin de l'époque déplacés à Budapest pour les besoin du tournage, en passant par les entraînements musclés de l'impressionnante et très atlhétique Charlize Theron. Devant tant de maîtrise et de capacités (elle peut enchaîner jusqu'à une vingtaine de mouvements de combat à la suite), les chorégraphes (qui filment aussi les scènes d'action) sont allés jusqu'à réorchestrer à nouveau certains passages afin de laisser la caméra tourner le plus possible.
Un peu plus loin dans les bonus, la comédienne sud-africaine, aussi productrice du film, avoue avoir voulu tourner à la dure. Elle en a largement eu pour son compte, ses prouesses physiques et combatives sont indéniables.
Ne pas louper le module de 8 minutes sur LE plan-séquence du film. Un morceau de bravoure qui n'en finit pas et a visiblement exténué les comédiens malgré les décors plus vrais que nature mais tout en mousse pour éviter les blessures.
Enfin, le réalisateur se livre à un bel exercice de style au sein du commentaire audio. On en apprendra beaucoup sur les trucs et astuces de chaque corps de métier. Choix de chansons, dessous des effets spéciaux, il n'oublie rien. Par exemple, à l'ogirine, les comics ne recèlent pas toutes ces scènes d'action. Sa monteuse islandaise, présente à ses côtés, n'est pas en reste quand il s'agit de révéler quelques techniques. La respiration de Charlize Theron dans son bain de glaçons au début du film, c'est elle !