Easy Rider
Édition deluxe 40e anniversaire
Année : 1969
Réalisateur : Dennis Hopper
Casting : Dennis Hopper, Jack Nicholson, Peter Fonda, Warren Finnerty
Éditeur : SPHE
BD : BD-50, 95', toutes zones
Genre : road-movie, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 23/09/09
Prix ind. : 19,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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1.85
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HD 1 080p (Mpeg4 AVC)
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16/9 natif
Bande-son
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Français Dolby TrueHD 5.1
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Anglais Dolby TrueHD 5.1
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Anglais Dolby Digital 2.0
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Allemand Dolby TrueHD 5.1
Sous-titres
Français, anglais, allemand, arabe, turc, chinois, néerlandais, coréen, thaïlandais
Il y a eu un avant et un après Easy Rider. À la fin des années 60, le cinéma américain se prépare à vivre sa révolution. En 1967, Le lauréat, Le point de non-retour et surtout Bonnie and Clyde avaient déjà ébranlé les murs vieillissants de la citadelle hollywoodienne. Mais c’est le film de Dennis Hopper qui va lancer ce que l’on appellera plus tard le Nouvel Hollywood.
Réalisé en 1969, Easy Rider raconte l’échappée de deux motards hippies, Wyatt et Billy (Fonda et Hopper), qui décident de relier L.A. à la Nouvelle-Orléans. Au cours de leur périple, les deux hommes découvrent l’Amérique à visage découvert, des communautés hippies de Taos aux rednecks racistes du Texas profond.
Avec Easy Rider, monument de la contre-culture au cinéma, Hopper invente un genre (le road-movie), un style hérité des méthodes de la Nouvelle Vague (tournage en extérieur, improvisation des acteurs), et devient le porte-voix de la génération des Sixties.
Enfin, la bande-originale du film, révolutionnaire pour l’époque, compile les titres de Steppenwolf, The Byrds et Jimi Hendrix. Un classique.
Jean-Baptiste Thoret - Publié le 12/11/09
Bonus
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Commentaires audio épisodiques de Dennis Hopper |
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Documentaire sur le film, son histoire et sa place dans l'histoire du cinéma (65') |
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Bandes-annonces de l'éditeur |
Évidemment, le documentaire est à voir. Tout comme le commentaire audio de Dennis Hopper est à écouter. Certes, il est plus qu'épisodique, mais après tout, pour un énième visionnage du film, cela convient parfaitement et ne gâche en rien le bon déroulement du long métrage. |
Image
L'ensemble est clair, texturé, sans gros défauts, mais limité techniquement parlant. L'âge du film étant ce qu'il est, tout comme les conditions aléatoires de tournage (certaines parties du film ont même été tournées en 16 mm), le grain se fait très présent. En revanche, les scènes sombres s'en sortent bien, tout comme les contrastes et les couleurs. |
Son
La piste 2.0 est en fait une piste mono doublée à droite et à gauche. En Dolby TrueHD 5.1, le léger découpage parvient à se faire entendre (il faut tendre l'oreille), notamment au niveau de la spatialisation de la musique. Enfin, la VO est à privilégier pour son ouverture supérieure, sa dynamique et son niveau de détails sonores. La VF écrase légèrement les ambiances. |