À bout de souffle
Année : 1960
Réalisateur : Jean-Luc Godard
Casting : Jean-Paul Belmondo, Jean Seberg, Daniel Boulanger
Éditeur : StudioCanal
BD : BD-50, 90', toutes zones
Genre : drame, noir et blanc
Interdiction : tous publics
Sortie : 16/02/10
Prix ind. : 19,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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1.33
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HD 1 080p (Mpeg4 AVC)
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16/9 natif
Bande-son
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Français DTS-HD Master Audio 2.0
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Allemand DTS-HD Master Audio 2.0
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Espagnol DTS-HD Master Audio 2.0
Sous-titres
Anglais, allemand, néerlandais, thaï, portugais, espagnol, turc
En 1960, À bout de souffle n’est pas, à proprement parler, le premier film de la Nouvelle Vague (Chabrol et Truffaut étaient les premiers), mais représente plutôt son égérie, son symbole.
À partir d’un scénario classique (un voleur séducteur, Michel Poiccard, rencontre à Paris une jeune et jolie étudiante américaine et lui propose de s’enfuir avec lui), Godard (dont c’était le premier film) dynamite surtout les codes formels, narratifs et le schéma classique des productions de l’époque.
« Si je voulais montrer des personnages consistants, expliquait le réalisateur, il fallait les faire agir, parler comme les gens que je connais (et moi-même). Et ça, on ne l’avait jamais fait auparavant ». Il y a donc eu l’avant et l’après À bout de souffle. Un classique.
Jean-Baptiste Thoret - Publié le 23/02/10
Bonus
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Présentation du film par Colin Maccabe (5') |
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Documentaire intitulé « Godard, made in USA » (50') |
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Documentaire de Claude Ventura « Chambre 12, hôtel de Suède » (78') |
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Jean-Luc selon Luc Moullet (7') |
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Photos |
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Affiches du film |
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Accès BD Live |
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Livret d'une vingtaine de pages rédigé par Yves Alion, rédacteur en chef de L'avant-scène cinéma |
Une excellente interactivité pour tous les exégètes du film. |
Image
Cette édition Blu-Ray a été l'occasion d'un important travail de restauration en 2K, ce qui a permis de gommer certains défauts. Et si le grain et les fourmillements persistent en fond d'écran, la définition et les contrastes sont magistraux. |
Son
La version originale est un peu sèche sur les dialogues et certains bruitages, mais la gestion de la musique et des ambiances se montre exquise. |