Pierrot le Fou
Année : 1965
Réalisateur : Jean-Luc Godard
Casting : Jean-Paul Belmondo, Anna Karina, Graziella Galvani
Éditeur : StudioCanal
BD : BD-50, 111', toutes zones
Genre : drame, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 16/02/10
Prix ind. : 19,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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2.35
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HD 1 080p (Mpeg4 AVC)
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16/9 natif
Bande-son
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Français DTS-HD Master Audio 2.0
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Anglais DTS-HD Master Audio 2.0
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Allemand DTS-HD Master Audio 2.0
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Espagnol DTS-HD Master Audio 2.0
Sous-titres
Anglais, allemand, néerlandais, danois, norvégien, suédois, espagnol, finnois, thaï
Plusieurs années durant, Ferdinand (Jean-Paul Belmondo) a entretenu une relation passionnelle avec une jeune étudiante (Anna Karina, avec laquelle il tournera quinze longs métrages entre 1960 et 1967). Le temps a passé et Ferdinand retrouve son amour d’antan. Mais une série d’imprévus va les conduire vers un destin tragique.
Revisitant un à un les codes du film noir, Godard retrouve en 1965 son acteur d’À bout de souffle et réalise l’un de ses plus grands succès public.
Pierrot le Fou porte la méthode du Godard des années 60 à son apogée : nostalgie du cinéma classique américain, anarchisme joyeux, fragmentation du récit, douleur de l’acte artistique, relations de couple impossibles, goût effréné de la citation… Voici sans nul doute l’un des classiques du cinéma français.
Jean-Baptiste Thoret - Publié le 23/02/10
Bonus
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Présentation du film par Colin Maccabe (3') |
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Documentaire intitulé « Godard, l'amour, la poésie » (53') |
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Analyse du film par Jean-Bernard Pouy sous forme de commentaire audio |
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Bande-annonce |
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Spot TV allemand |
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Affiches du film |
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Accès BD Live |
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Livret d'une vingtaine de pages rédigé par Roland-François Lack, maître de conférence de français et cinéma à l'University College de Londres |
Une interactivité simple mais extrêmement complète avec, en pièce maîtresse, le commentaire audio de Jean-Bernard Pouy. Un plaisir. |
Image
La qualité de la restauration est assez époustouflante. Bien que le grain et les fourmillements soient toujours présents en arrière-plan, l'image est joliment définie et les couleurs affichent une belle vitalité. Raoul Coutard, le chef-opérateur de Godard (il a aussi travaillé avec François Truffaut et Jacques Demy), a lui-même supervisé l’étalonnage du master pour un rendu au plus près de la colorimétrie recherchée alors par le cinéaste. En tout cas, jamais Pierrot le Fou n'avait offert une telle qualité d'image en vidéo. |
Son
Sur le plan sonore, c'est plus basique malgré le renfort d'une piste DTS-HD MA 2.0 plutôt dynamique, et l'excellente gestion de la musique. Saluons toutefois la limpidité des dialogues. |