Présumé innocent
Presumed Innocent
Année : 1990
Réalisateur : Alan J. Pakula
Casting : Harrison Ford, Brian Dennehy, Raul Julia, Bonnie Bedelia, Paul Winfield, Greta Scachi
Éditeur : Warner
BD : BD-50, 127', toutes zones
Genre : thriller, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 14/04/10
Prix ind. : 14,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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1.85
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HD 1 080p (VC-1)
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16/9 natif
Bande-son
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Français DTS-HD Master Audio 2.0
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Anglais DTS-HD Master Audio 2.0
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Allemand DTS-HD Master Audio 2.0
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Italien DTS-HD Master Audio 2.0
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Espagnol DTS-HD Master Audio 2.0
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Portugais DTS-HD Master Audio 2.0
Sous-titres
Français, allemand, italien, espagnol, danois, néerlandais, finlandais, norvégien, suédois, russe
Avant-dernier film du regretté Alan J. Pakula (Les hommes du président), Présumé innocent commence comme un drame conjugal, passe par le thriller et s’achève dans le film de procès.
Le procureur Rusty Sabich (Harrison Ford) se voit confier l’enquête du meurtre d’une de ses collègues (Greta Scacchi), qui se trouvait aussi être sa maîtresse. Peu à peu, les preuves s’accumulent contre lui et le désignent bientôt comme le coupable parfait. Saura‑t‑il prouver à temps son innocence ?
À partir d’un canevas certes classique, Pakula parvient à tirer son épingle du jeu et nous livre un suspense juridique solide.
Jean-Baptiste Thoret - Publié le 17/06/10
Bonus
Image
L’image de cette édition Blu-Ray est assez impressionnante par la gestion exemplaire de ses contrastes et la qualité de sa tenue. Beaucoup de stabilité, un excellent niveau de détail, une belle précision, une profondeur de champ notable, bref, un ensemble qui permet presque de redécouvrir le film. En revanche, la colorimétrie n’est pas à la fête. La palette de teinte n’est pas assez large et l’ensemble se montre plutôt sombre. Un beau travail tout de même pour un film de 1990 ! |
Son
Les amateurs de bandes‑son tonitruantes ne se contenteront pas de ces encodages stéréo qui « font le boulot » sans trop forcer. Le dynamisme est très peu présent (le film ne se prête pas non plus à une cavalcade sonore démonstratrice, hormis les envolées de John Williams), et si les dialogues sont rigoureusement mis en valeur (surtout en VO), il faudra chercher ailleurs une atmosphère sonore détaillée et une répartition exemplaire. |