Phénomènes paranormaux

The Fourth Kind
Année : 2010
Réalisateur : Olatunde Osunsanmi
Casting : Milla Jovovich, Will Patton, Elias Koteas, Enzo Cilenti, Hakeem Kae-Kazim, Corey Johnson
Éditeur : Metropolitan Film & Vidéo
BD : BD-50, 98', zone B
Genre : fantastique, couleurs
Interdiction : - de 12 ans
Sortie : 01/12/10
Prix ind. : 24,99 €
sans Must AV
Critique

Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
2.35
HD 1 080p (AVC)
16/9 natif
Bande-son
Français DTS‑HD Master Audio 5.1
Anglais DTS‑HD Master Audio 5.1
Sous-titres
Français
Amazon
9,80 €
Nome, une petite ville isolée d'Alaska. La psychologue Abigail Tyler, qui vient de perdre son mari, va être confrontée à des événements pour le moins étranges. Ses patients semblent tous souffrir du même mal : la nuit, durant leur sommeil, ils se sentent observés par une chouette blanche qui les terrorise. Pour en savoir plus, Tyler va tenter une séance d'hypnose sur l'un d'entre eux. Mais tout va tourner au cauchemar…

Depuis Le projet Blair Witch, la phrase « inspiré de faits réels » est devenue un véritable label commercial supposé attirer le chaland en mal de sensations fortes. Si cette pratique ne date pas d'hier (voir Amityville, la maison du Diable ou Massacre à la tronçonneuse), elle s'est généralisée depuis quelque temps, producteurs et réalisateurs n'hésitant pas à faire preuve d'une rare malhonnêteté pour faire le buzz sur la toile.

Dernier en date, Phénomènes paranormaux pousse l'exercice à son paroxysme, alternant en split screen (écran partagé en vignettes) scènes de fiction et supposés documents d'archives où l'on assiste au témoignage de la « vraie » Abigail Tyler (elle‑même incarnée par une actrice au visage inconnu). Pis, Milla Jovovich, avant le début du film, s'adresse au spectateur face caméra, assurant que tout ce qui va suivre est bien réel et qu'il faut se préparer à un choc. Mais tout ceci est faux, évidemment, et repose donc sur une énorme supercherie, dont on comprend difficilement l'intérêt cinématographique.

À force d'user de stratagèmes toujours plus grossiers pour faire frissonner le public et remplir les tiroirs‑caisses, les auteurs négligent les fondements du cinéma, c'est‑à‑dire le scénario. Et oublient que le cinéma fantastique n'a pas besoin d'être frappé du sceau « vu dans la vraie vie » pour susciter l'angoisse.
Laurence Mijoin - Publié le 10/02/11
Bonus
- Scènes coupées (SD) (22')
- Bandes‑annonces

Rien d'intéressant à se mettre sous la dent, les scènes coupées étant totalement dispensables.
Note bonus : 1/6
Image
Dès la séquence d'ouverture, on se rend compte que l'on a affaire à une copie de qualité. Les plans aériens révèlent une belle profondeur de champ, qui permet d'apprécier les paysages sauvages et glacés d'Alaska. Les couleurs froides se montrent parfaitement restituées, bénéficiant de profonds contrastes. Quant à l'image, fine et détaillée, elle permet de distinguer la moindre particule en suspension dans l'air. On notera simplement de très légers fourmillements sur certaines zones sombres ou durant les séquences en basse lumière, mais rien de désagréable.
Note image : 5/6
Son
Si VO et VF se valent, on préférera la piste anglaise DTS‑HD Master Audio 5.1, qui délivre un mixage solide tout en proposant des dialogues très naturels. La répartition des effets (cris, bruits d'ambiance) sur l'ensemble des canaux se veut précise et efficace, contribuant grandement à l'atmosphère angoissante du film.
Note son : 5/6



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