Dark Country

Année : 2009
Réalisateur : Thomas Jane
Casting : Thomas Jane, Lauren German, Ron Perlman, Chris Browning, Con Schell, Rene Mousseux
Éditeur : Seven Sept
BD : BD-50, 88', zone B
Genre : fantastique, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 01/04/11
Prix ind. : 24,98 €
sans Must AV
Critique

Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
1.85
HD 1 080p (AVC)
16/9 natif
Bande-son
Français DTS-HD Master Audio 5.1
Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
Sous-titres
Français
Amazon
9,73 €
Après une nuit agitée et beaucoup d’alcool ingurgité, Dick et Gina (Thomas Jane et Lauren German) se réveillent dans un motel de Las Vegas. Une bague de fiançailles au doigt de la jeune femme et le certificat d’une chapelle leur rappellent qu’ils se sont mariés la veille. Ils ne se connaissent que depuis un jour, mais commencent déjà à éprouver des sentiments amoureux. Pour célébrer leur union et sans doute échapper à leur ancienne vie, ils décident de passer leur lune de miel à Sedona, Arizona. Mais, alors qu’ils s’apprêtent à partir, un homme aussi mystérieux qu’inquiétant avertit Dick d’un danger, lui conseillant de prendre soin de sa nouvelle épouse et de ne surtout pas s’éloigner de la route principale. Ces quelques mots n’empêchent pas les tourtereaux d'entreprendre un long périple dans le désert. Mais ils ne vont pas aller bien loin, stoppés net par un blessé grave qu’ils évitent de justesse…

Acteur notamment vu dans The Mist de Frank Darabont, et actuellement héros de la série TV Hung, Thomas Jane signe avec Dark Country son premier long métrage. Lorgnant à la fois vers le film noir, le fantastique paranoïaque d’un Stephen King et un épisode de La quatrième dimension, le jeune réalisateur livre un gloubi‑boulga indigeste, au twist aussi prévisible que convenu. Outre un scénario creux à la conclusion plus que bâclée, on assiste à un spectacle mal mis en scène, grossier, bourré de fonds verts et d’incrustations piteuses.

Certes, le budget était minimaliste (environ 4 millions de dollars). Mais cela n’excuse pas tout, surtout pas le manque d’envie de raconter une histoire.
Laurence Mijoin - Publié le 29/03/11
Bonus
- Film en version 3D et 2D
- Commentaires audio du réalisateur et acteur Thomas Jane, du scénariste Tab Murphy et du producteur Patrick Aiello
- Coulisses (11')
- Le cinéma en relief (bandes‑annonces)
- Bande‑annonce
- Lien internet

Une bien maigre interactivité, plus chargée en bandes‑annonces qu'en bonus. Car si les commentaires audio ont le mérite de réunir le réalisateur et acteur, le scénariste et le producteur, ceux-ci ne sont hélas pas sous‑titrés. Seul autre supplément, « Les coulisses » n'est en réalité qu'une featurette promotionnelle pas très passionnante.
Note bonus : 2/6
Image
Difficile de juger avec objectivité la qualité d'image. Car si cette édition Blu‑Ray semble proposer une définition très correcte et une bonne compression (au vu de la séquence d'ouverture dans le motel, ou des rares plans en plein jour durant les premières minutes du film), les choses se gâtent dès la tombée de la nuit. Les scènes nocturnes, qui représentent la grande majorité du métrage, sont en effet bardées d'effets spéciaux calamiteux, d'incrustations aux contours détourés à la truelle et d'un étalonnage différent à chaque nouveau plan. Les couleurs varient donc grandement ou s'affadissent de manière spectaculaire. On ne prendra donc en compte que la qualité intrinsèque de la copie Blu‑Ray (et non du matériau de base), qui parvient à limiter la casse avec un bon piqué et des noirs profonds (test réalisé sur la version 2D).
Note image : 4/6
Son
On apprécie la présence du DTS‑HD Master Audio 5.1 en VF et VO, ainsi que l'effort fourni sur la spatialisation, surtout pour la piste anglaise sous‑titrée français. Les enceintes avant et arrière ainsi que le caisson de basses sont très bien sollicités, quitte à parfois en faire un peu trop dans les effets de répartition. Certaines séquences, paradoxalement trop « soignées », peuvent donc manquer de naturel ou de logique (le chuchotement de Gina sur les canaux arrière, 32'35). La piste française, a contrario, et malgré la bonne dynamique du subwoofer, ne bénéficie pas suffisamment de cette spatialisation, et pâtit de doublages pas toujours heureux (la voix caverneuse du blessé). S'il est difficile de trouver un juste milieu, on préférera tout de même la VO, pour le naturel des dialogues, comme souvent.
Note son : 4/6


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