District 9

Édition Prestige
Année : 2009
Réalisateur : Neill Blomkamp
Casting : Sharlto Copley, Nathalie Boltt, David James
Éditeur : Metropolitan Film & Vidéo
DVD : DVD-9, 107', zone 2
Genre : science-fiction, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 20/01/10
Prix ind. : 19,99 €
Mustav
Critique

Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
1.85
SD 576i (Mpeg2)
16/9 compatible 4/3
Bande-son
Français Dolby Digital 5.1
Anglais Dolby Digital 5.1
Sous-titres
Français
Amazon
5,80 €
Cela commence très bien à la manière d'un documenteur, genre brillamment défriché par Cloverfield et Diary of the Dead. L’idée de départ est aussi forte que délirante : depuis vingt ans, un vaisseau spatial stationne dans le ciel de Johannesburg, tandis que ses occupants, un million d’aliens surnommés les « crevettes » en raison de leur look mi-Predator mi-tortues Ninja, survivent parqués dans le camp de District 9, champ poisseux de bidonvilles insalubres où sévissent violence, gangs et corruption, référence directe au District 6, ce quartier multiracial du Cap rasé en 1966 après avoir été classé zone blanche.

Wikus, l’émissaire benêt d’une puissante agence gouvernementale, débarque un jour dans District 9 afin d’informer ses occupants de leur imminente délocalisation dans des townships de banlieue, mais les choses tournent mal. Touché par une substance de contamination massive, Wikus se métamorphose peu à peu.

Après une première partie très cartoon qui cite pêle-mêle la série V (cette fois, le mets préféré des aliens n'est pas la souris blanche mais la boîte de pâté pour chat), Verhoeven (Starship Troopers), Carpenter (NY 1997 et Invasion L.A surtout), Asimov et Philip K. Dick, Neill Blomkamp, protégé de Peter Jackson qui signe ici son premier long métrage, se recentre sur l’aventure tragique de son héros malgré lui.

Apartheid, Sangatte, Guantanano, favelas, camps de concentration, District 9 constitue certes une allégorie politique tous terrains, mais Blomkamp, pas didactique pour un sou, sait plonger juste à temps dans la série B pure et dure. Une curiosité à découvrir.
Jean-Baptiste Thoret - Publié le 13/01/10
Bonus
- Commentaire audio du réalisateur en VOST
- Journal vidéo du réalisateur (32')
- Scènes coupées (20')
- Bandes-annonces

Simple, complet et plutôt agréable à écouter et à regarder.
Note bonus : 4/6
Image
La première partie qui mêle faux documentaire et fiction parvient à offrir un excellent niveau de qualité. L'image est lumineuse, contrastée avec franchise et offre un rendu très « vidéo ». La seconde est plus classique mais conserve cette esthétique typée. C'est assez unique, c'est vrai.
Note image : 5/6
Son
Voilà une chouette bande-son 5.1, dense et spectaculaire, offrant à la fois une belle dynamique frontale et de séduisantes ambiances Surround. Les scènes d'action sont assez spectaculaires et soutenues par un canal LFE aux basses souvent tonitruantes. Sensations garanties.
Note son : 6/6


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