Un mariage de rêve

Easy Virtue
Année : 2008
Réalisateur : Stephan Elliott
Casting : Jessica Biel, Colin Firth, Kristin Scott Thomas, Ben Barnes, Kris Marshall, Kimberley Nixon
Éditeur : Pyramide Vidéo
DVD : DVD-9, 92', zone 2
Genre : comédie dramatique, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 04/11/09
Prix ind. : 19,99 €
sans Must AV
Critique

Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
2.35
SD 576i (Mpeg2)
16/9 compatible 4/3
Bande-son
Français Dolby Digital 5.1
Français Dolby Digital 2.0
Anglais Dolby Digital 5.1
Anglais Dolby Digital 2.0
Sous-titres
Français (imposé sur la VO)
Amazon
9,99 €
Un jour, l’équilibre d’une famille traditionnelle anglaise se voit perturbée par l’arrivée de Larita (Jessica Biel, plutôt bonne), belle-fille et jeune femme désinvolte, vive et spontanée. Aux antipodes de la culture du clan Whittaker, menée à la dure par une matriarche revêche interprétée par une Kristin Scott Thomas en pleine forme, Larita peine à s’intégrer. Entre les préjugés des uns et la superficialité des rapports des autres, Larita doit enfin faire face au retour d’un passé peu reluisant qui va tout faire basculer.

Adapté d’une pièce de théâtre écrite en 1924 par Noel Coward, Un mariage de rêve confronte la haute société britannique et ses traditions figées à l’avènement d’une ère nouvelle, incarnée par Larita, femme libérée venue du Nouveau Monde, à la fois divorcée, pilote de course et passionnée par l’industrie automobile. Soit deux mondes que tout oppose et dont le film décrit la conflagration. Une critique souvent acerbe et drôle, mais qui ne parvient pas toujours à s’extraire de la caricature.
Carole Lépinay - Publié le 22/03/10
Bonus
- Entretien avec Stephan Elliott (20')
- Scènes commentées
- Bandes-annonces

Stephan Elliott revient sur la genèse de son projet, soit l'adaptation de la pièce éponyme de Noel Coward en une fiction à la fois drôle, sarcastique, dotée d'un humour terriblement décalé. Il fait aussi allusion à une première version (muette) du film réalisé par Alfred Hitchcock en 1927. On apprend également que Stephan Elliott a souhaité arrêter le cinéma après avoir compris que Priscilla folle du désert (1994), son quasi premier film, serait sans doute le meilleur de sa carrière. C'est après une grave chute de ski, l'immobilisant pendant plusieurs mois, qu'il décida de reprendre le chemin des studios.
Note bonus : 2/6
Image
Une habile reconstitution du petit monde clos de la bourgeoisie anglaise. Les décors, les costumes, les lumières et la qualité de la photographie font un carton. Aucun accroc à ce tableau de famille capté avec beaucoup de classe. On apprécie le petit côté suranné qui n'interfère en rien sur le rendu final, toujours clair, net et précis.
Note image : 5/6
Son
Si la version française s'en sort haut la main question spatialisation, portée des ambiances et amplitude (tout comme les deux pistes stéréo d'ailleurs), la VO 5.1 est à privilégier pour le charme de ses dialogues originaux, pleins de fantaisie et d'humour acide. D'une manière générale, beaucoup de clarté et d'application dans la mise en relief des divers éléments de la bande sonore.
Note son : 4/6


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