Blanche-Neige, le prince noir et les sept nains
I sette nani alla riscossa
Année : 1951
Réalisateur : Paolo William Tamburella
Casting : Rossana Podesta, Roberto Risco, Georges Marchal, Mario Mastrantonio, Salvatore Furnari, Francesco Gatto
Éditeur : Artus Films
DVD : DVD-5, 84', zone 2
Genre : comédie, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 05/12/10
Prix ind. : 12,90 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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1.33
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SD 576i (Mpeg2)
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4/3
Bande-son
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Français Dolby Digital 2.0
Blanche‑Neige (Rossana Podesta) mène une existence paisible auprès de son prince charmant (Roberto Risco). Une sérénité bientôt écourtée. Son bien‑aimé doit en effet partir livrer bataille et Blanche‑Neige se retrouve seule, désemparée. Elle se fait enlever par le Prince noir (Georges Marchal) contre lequel elle résiste obstinément. Heureusement, ses amis de toujours, les sept nains, ont eu vent de ce malheureux événement et vont tout tenter pour sauver la belle princesse, à leurs risques et périls.
Dans Blanche‑Neige, le prince noir et les sept nains, la fin heureuse contée par les frères Grimm bénéficie d’une suite, non sans surprises et péripéties en tous genres. Entre comédie naïve et aventures enfantines, le film réunit l’action rocambolesque du cinéma de cape et d’épée, ainsi que la magie innocente des contes de fées, démunis d’arrière‑pensées. Bien sûr, il y a les gentils et les méchants, mais l’affreuse belle‑mère a troqué son costume de sorcière contre celui d’un prince ténébreux et malsain, ce qui rend l’histoire bien que manichéenne, encore plus terrifiante. Un après‑conte savoureux et original.
Carole Lépinay - Publié le 21/02/11
Bonus
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Le mythe de Blanche‑Neige par Pierre Dubois (45') |
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Diaporama (1') |
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Bandes-annonces (10') |
Retour aux sources du mythe de Blanche‑Neige avec les commentaires et analyses de Pierre Dubois, agrémentés d'illustrations anciennes. |
Image
Un N&B qui a de beaux restes malgré l'âge (1951) et livre un rendu doux comme du coton, parfois trop, voire lisse. On note aussi quelques fourmillements et sauts d'image au début, mais on s'y fait très bien. Beaucoup de charme. |
Son
Une stéréo qui ressemble plus à du mono doublé à droite et à gauche. En résulte des dialogues toujours audibles et clairs, mais aussi une musique qui a vite tendance à saturer. |