The Deep Blue Sea

Année : 2011
Réalisateur : Terence Davies
Casting : Rachel Weisz, Tom Hiddleston, Simon Russell Beale, Ann Mitchell, Karl Johnson, Barbara Jefford
Éditeur : Diaphana Vidéo
DVD : DVD-9, 94', zone 2
Genre : drame, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 07/11/12
Prix ind. : 19,99 €
sans Must AV
Critique

Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
1.85
SD 576i (Mpeg2)
16/9 compatible 4/3
Bande-son
Français Dolby Digital 5.1
Français Dolby Digital 2.0
Anglais Dolby Digital 2.0
Sous-titres
Français
Amazon
13,45 €
Dans les années 50, Hester Collyer (Rachel Weisz) s’éprend d’un ancien pilote de guerre. Mariée à Sir William (Simon Russell Beale), un avocat influent qui a deux fois son âge, elle n’hésite pas à rompre avec ses privilèges pour vivre pleinement sa passion. Mais la désillusion et la tournure destructrice de leur relation se profilent inexorablement.

Adapté d’une pièce de théâtre méconnue de Terence Rattigan, The Deep Blue Sea nous surprend d’emblée avec une esthétique poussiéreuse et rustique, portée à l’extrême dans une succession de huis clos, qui semble avoir été façonnée pour la paralysie scénique du théâtre.

Avec une certaine apesanteur formelle donc, Terence Davies accorde autant d’importance à l’illustration de l’Angleterre d’après‑guerre (les chants populaires s’échappent des pubs enfumés ou d’une bouche de métro, forçant l’apparence d’une communauté) qu’aux tourments d’Hester. Sa force (interprétée comme une faiblesse de la chair pour son mari, auquel le sens de la passion échappe) atteste les prémisses d’un féminisme assumé. L’indépendance d’Hester commence alors grâce à la rupture du cordon marital, et peu importe si la sécurité matérielle y passe à son tour. Un mélodrame tout en nuance.
Carole Lépinay - Publié le 11/12/12
Bonus
- Bande-annonce

RAS.
Note bonus : 0/6
Image
Ici, tout est sombre, immobile, verrouillé. Idem pour les couleurs retenues, les contrastes malhabiles, la définition mal assurée… Bref, ça sent le renfermé. Rien ne bouge, tout est triste, fade, pesant et techniquement limité.
Note image : 3/6
Son
Les violons de Samuel Barber nous enchantent quelques minutes, puis nous laissent aussi froids que l'image. D'autant que le mixage 5.1 se contente des trois voies frontales pour s'exprimer. C'est d'ailleurs amplement suffisant pour ce genre de film.
Note son : 4/6


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