Napoléon (et moi)

Mai 1814. Napoléon, exilé, débarque sur l’île d’Elbe. Martino, jeune enseignant idéaliste et farouchement anti-Napoléonien, assiste à son arrivée et rêve de l’assassiner. Seuls les regards félins de la belle baronne Emilia parviennent à calmer ses ardeurs. Mais cette dernière souhaite partir vivre à Naples, loin de son jeune prétendant. Jusqu’au jour où l’Histoire rapproche Martino et Napoléon.


Beaucoup de bruit, de gesticulations, de cris, de vociférations et de bagarres. Interprétation très théâtrale limite surjouée, scénario sans surprise et récit passif. Que diable Auteuil est-il allé faire dans cette galère ?