Steve Jobs : the Man in the Machine
Année : 2015
Réalisateur : Alex Gibney
Casting : Bob Belleville, Chrisann Brennan, Nolan Bushnell
Éditeur : Universal
DVD : DVD-9, 123', toutes zones
Genre : documentaire, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 26/01/16
Prix ind. : 14,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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1.78
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SD 576i (Mpeg-2)
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16/9 compatible 4/3
Bande-son
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Anglais Dolby Digital 5.1
Steve Jobs a décidément tout d'un gourou. Depuis sa mort, les documentaires se sont multipliés pour rendre gloire au visionnaire, à son génie, à son inventivité et à sa puissance créative. Le cinéma s'est même emparé du sujet avec deux films : le fade Jobs de Joshua Michael Stern avec Ashton Kutcher (sorti en 2013) et Steve Jobs de Danny Boyle avec Michael Fassbender (attendu en salles le 3 février).
Aujourd'hui, alors que l'iPhone 6S s'arrache toujours comme des petits pains, que l'Apple Watch, l'Apple TV, Apple Pay, les iPad, les Macbook et les iMac prolifèrent partout dans le monde et permettent à Apple d'amasser une fortune colossale, on commence à se demander si Steve Jobs n'avait pas plusieurs visages. Comme tout le monde, a‑t‑on envie de dire...
Ce documentaire d'Alex Gibney s'attache une nouvelle fois à désacraliser l'icône qu'est devenu Steve Job et à dresser le portrait de l'homme dans toute sa complexité avec ses contradictions et ses faiblesses. Le film revient sur la genèse d'Apple, à travers des images d'archives et des témoignages de proches, et s'évertue à démonter le mythe que Steve Jobs s'était construit. Et c'est passionnant.
Éric Le Ven - Publié le 28/01/16
Bonus
Image
Beaucoup d'images ont beau être anciennes, parasitées, bruitées et dans différents formats, le rendu se montre suffisant pour ne pas ternir la qualité de ce documentaire. |
Son
Une piste 5.1 pour un documentaire sur Steve Jobs ? Il fallait oser. Et le résultat est plutôt convaincant car tous les propos, toutes les images sont mis en musique, et le tout est sobrement mixé sur six canaux avec une clarté frontale irréprochable. Évidemment, à l'arrière, c'est plutôt light. |