Resident Evil : Extinction
Collector
Année : 2007
Réalisateur : Russell Mulcahy
: Milla Jovovich, Mike Epps, Ali Larter
Éditeur : Metropolitan Film & Vidéo
DVD : 2 DVD-9, 90’, zone 2
Genre : fantastique, couleurs
Interdiction : - de 12 ans
Sortie : 12/06/08
Prix ind. : 24,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
•
2.35
•
SD 576i (Mpeg2)
•
16/9 compatible 4/3
Bande-son
•
Français DTS 5.1
•
Français Dolby Digital 5.1
•
Anglais Dolby Digital 5.1
Le virus mis au point par Umbrella Corporation est en train de détruire à petit feu l’Humanité, transformant les derniers humains en zombies puants et gluants. Fuyant les villes, un convoi de survivants prend la route en espérant gagner l’Alaska, dernier territoire préservé. À sa tête, la belle Alice, plus forte que jamais. Mais depuis son laboratoire, le Dr Isaacs les surveille, prêt à tout pour mettre la main sur la seule personne qui détient en elle l'antidote : Alice.
Troisième volet de la saga inspirée du jeu vidéo éponyme, Resident Evil : Extinction se résume à une succession décérébrée de séquences de massacres sanglants. Point culminant, un face-à-face entre un groupe d’humains et des zombies au cœur d’un Las Vegas apocalyptique. Entre Mad Max et L’armée des morts, Resident Evil : Extinction semble avoir trouvé sa place. Celle du gore sexy et bling bling.
Jean-François Lefèvre - Publié le 13/06/08
Bonus
- |
Commentaires audio du réalisateur, du producteur et du scénariste |
- |
Making of divisé en quatre modules (31') |
- |
Onze scènes coupées (10') |
- |
Sujet sur le casting (20') |
- |
Interviews de Milla Jovovich et du réalisateur (24') |
- |
Retour sur la saga (6') |
- |
Bandes-annonces |
- |
Lien Internet |
Beaucoup de suppléments, mais de qualité inégale. |
Image
Image splendide, nette et bien découpée, à l’ambiance et aux couleurs travaillées. Un dynamisme à toute épreuve, des contrastes en acier trempé, des noirs somptueux et une précision diabolique. Visuellement, c’est extra. |
Son
Une bande-son virulente qui multiplie les effets arrière et les descentes dans les graves, tout en offrant une envergure exceptionnelle. Les versions proposées ne font pas dans la finesse. Mais des trois, c’est la VF DTS (mi-débit) qui se montre la plus expressive et la plus musclée.
|