La clef
Année : 2007
Réalisateur : Guillaume Nicloux
: Guillaume Canet, Marie Gillain, Vanessa Paradis, Thierry Lhermite, Josiane Balasko, Jean Rochefort
Éditeur : M6 Vidéo
DVD : DVD-9, 115’, zone 2
Genre : thriller, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 09/07/08
Prix ind. : 19,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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2.35
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576i (Mpeg2)
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16/9 compatible 4/3
Bande-son
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Français Dolby Digital 5.1
Éric Vincent, la trentaine, entretient un fort sentiment de malaise malgré une vie sans histoire. Un matin, un inconnu l’appelle et lui propose de récupérer les cendres de son père qu’il n’a jamais connu. Il refuse dans un premier temps, puis finit par se résigner. Il ne sait pas encore qu'il vient de mettre la main dans un engrenage infernal.
Après Cette femme-là et Une affaire privée, La clef clôt la trilogie de Guillaume Nicloux consacrée à la paternité et à la quête d’identité. Mise en scène âpre et comédiens parfaitement à leur aise (étonnant Guillaume Canet) réussissent à donner vie à ce polar plombé par des dialogues affreux, de trop nombreux flash-back et des connexions artificielles entre certains personnages. Le style Nicloux opère. Un certain temps.
Cédric Melon - Publié le 01/07/08
Interview Guillaume NiclouxAprès
Une affaire privée et
Cette femme-là, Guillaume Nicloux achève sa trilogie policière avec
La clef. Une aventure cinématographique particulière sur laquelle le metteur en scène revient à sa façon.
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Bonus
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Commentaires audio de Guillaume Nicloux et de la journaliste Virginie Apiou |
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Making of (19') |
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Interviews des acteurs et de Jean Rochefort |
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Scènes coupées (9') |
Les scènes coupées n'ont aucun intérêt, mais l'interview de Rochfort vaut le détour. Tout comme le making of laissant entrapercevoir la méthode de travail bien particulière de Guillaume Nicloux. |
Image
L’univers glauque et froid voulu par le réalisateur et le chef-opérateur est parfaitement retranscrit. Les contrastes sont judicieusement ciselés et mis en valeur, tandis que les tons crus et la précision permettent une immersion totale. Quelques artéfacts. |
Son
La piste son Dolby Digital 5.1 n’exploite que très peu les voies arrière. Tout est concentré à l'avant dans un souci de clarté des dialogues. Trop peu de relief. Vraiment dommage. |