The Eye
Année : 2008
Réalisateurs : Xavier Palud, David Moreau
Casting : Jessica Alba, Alessandro Nivola, Parker Posey, Rade Serbedzija, Fernanda Romero
Éditeur : Warner
DVD : DVD-9, 97', zone 2
Genre : fantastique
Interdiction : tous publics (accord parental souhaitable)
Sortie : 15/10/08
Prix ind. : 19,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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2.35
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SD 576i (Mpeg2)
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16/9 compatible 4/3
Bande-son
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Anglais Dolby Digital 5.1
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Français Dolby Digital 5.1
Depuis un tragique accident qui lui a coûté la vue lorsqu’elle était enfant, Sydney Wells mène une vie indépendante entre son appartement et les salles de concert où elle brille en tant que violoniste. Après vingt ans de ténèbres, le Dr Paul Faulkner lui propose de subir une double transplantation de la cornée.
Sydney accepte. L’opération est un succès. Mais plus sa vue s’améliore, plus elle est assaillie par d'étranges visions, aussi effrayantes qu’inexplicables. À tel point que la jeune femme commence à se demander si elle n’est pas entrain de perdre la raison.
Remake d’un film thaïlandais déjà moyen, The Eye n'a d'autre ambition que de recycler ce qui se fait dans le domaine du fantastique depuis une dizaine d’années. Jessica Alba relève l'ensemble et nous empêche de sombrer dans l'ennui. De Ils à The Eye, Xavier Palud et David Moreau, les deux réalisateurs français, semblent avoir perdu de leur fougue. Le rêve américain des deux metteurs en scène n'est pas loin de se transformer en cauchemar. Hollywood peinerait-il à trouver des cinéastes obéissants, des étoiles plein les yeux et peu gourmands ? En tout cas, le voyage au-dessus de l'Atlantique semble avoir vampirisé ce qui faisait le sel et l’originalité des auteurs de Ils. Vivement qu’ils reviennent en France.
Cédric Melon - Publié le 15/10/08
Interview Xavier Palud et David MoreauLes deux réalisateurs de
Ils, petit film d'horreur qui a fait sensation en France et aux USA, ont succombé aux sirènes d'Hollywood. Du rêve américain au cauchemar de deux jeunes réalisateurs français…
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Bonus
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Série de petits modules autour du film (20') |
Ça semble peu de prime abord, mais c'est direct, rapide, bref, ça passe tout seul.
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Image
Transfert de bonne facture. Le travail du chef-opérateur est respecté, avec une belle alternance entre les tons métalliques et les couleurs plus vives de certaines séquences. Les noirs sont profonds et les contrastes puissants. Si la définition est parfois approximative, l’ensemble a fière allure. |
Son
Les deux pistes sonores proposées bénéficient d’une bonne exploitation, d'une belle spatialisation et d'une atmosphère sonore assez ample. La gestion des basses aurait juste pu être un plus poussée et percutante.
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