Transformers : l'âge de l'extinction 3D
Transformers : Age of Extinction
Année : 2014
Réalisateur : Michael Bay
Casting : Mark Wahlberg, Nicola Peltz, Li Bingbing
Éditeur : Paramount
BD : 3 BD-50 + 1 DVD-9, 165’, zone B
Genre : aventures, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 26/11/14
Prix ind. : 24,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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2.35
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HD 1 080p (MVC 3D)
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16/9
Bande-son
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Anglais Dolby Atmos
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Anglais Dolby TrueHD 7.1
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Français Dolby Digital 5.1
Shia LaBeouf n'est plus là, mais Mark Wahlberg a été embauché pour le remplacer dans ce quatrième volet de la franchise Transformers. Le comédien incarne Cade Yeager, un gentil fermier texan, père d'une jolie jeune fille, qui découvre en réparant un vieux camion que celui-ci abrite l'un des derniers Transformers. En le protégeant, le fermier va s'attirer les foudres de méchants robots et de vilains savants...
Soit 2h45 de bruit et de fureur mécaniques où la seule fille du casting est relayée au rang de potiche et où on finit par ne plus très bien distinguer les gentils robots des méchants.
Un pop-corn movie à réserver au jeune public qui, lui, en redemande.
Éric Le Ven - Publié le 19/11/14
Bonus
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Interview de Michael Bay (11') |
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Making of (123') |
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Une virée chez Hasbro à Rhode Island (15') |
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Juste un film énorme de plus (10') |
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T.J. Miller : hippie fermier (20') |
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Bandes-annonces |
Tout est dit dans le making of qui fait vraiment le tour de la question et aborde tous les aspects du film. Le reste ne constitue que des petits suppléments dispensables. |
Image
L'image tout simplement somptueuse. La définition est monumentale, les contrastes éblouissants, les couleurs suaves à souhait, les bleus pétants, les lumières étincelantes, les effets spéciaux prodigieux, les nouveaux personnages charismatiques et les carrosseries comme les rouages des robots brillent de mille feux. La 3D apporte à ce formidable ballet mécanique un petit côté réaliste qui n'est pas pour déplaire. Ce n'est pas franchement décisif, mais c'est un « plus » appréciable. |
Son
La bande‑son est évidemment bourrin. Très bourrin même, avec un niveau de basses colossal, des explosions en veux‑tu en voilà, des canaux arrière qui défrisent, des effets balistiques dans tous les sens et la musique omniprésente de Steve Jablonsky.
Vu la richesse de la bande‑son, l'apport du Dolby Atmos en VO n'est vraiment pas décisif. Hormis sur deux ou trois séquences, notamment celle où Mark Wahlberg est suspendu à des filins métalliques entre deux buildings et poursuivi par des loups mécaniques.
Pour ceux qui ne sont pas équipés en Dolby Atmos, la VO offre un son Dolby TrueHD 7.1 phénoménal d'intensité et gavé de basses jusqu'à l'overdose. La piste française Dolby Digital 5.1 n'est pas mal non, mais moins précise, moins dense et moins nuancée au niveau de la spatialisation des effets. |