Daryl Hall and John Oates - Live in Dublin
Année : 2014
Réalisateur : Joss Crowley
Inclus : 15 titres dont Maneater, Out of Touch, Kiss on my List, Rich Girl, etc.
Éditeur : Eagle Vision
BD : BD-50, 97', toutes zones
Genre : concert, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 30/03/15
Prix ind. : 19,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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1.78
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HD 1 080i (AVC)
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16/9
Bande-son
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DTS-HD Master Audio 5.1
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PCM 2.0
Qu'on ne s'y trompe pas, Hall & Oates sont des faiseurs de tubes. Ou plutôt, étaient des faiseurs de tubes.
De la fin des années 70 jusqu'au milieu des années 80, ce duo pop américain a enchaîné les hits. Six d'entre eux restent forcément dans les mémoires (Rich Girl, Kiss on my List, Out of Touch, I Can't go for that, Private Eyes, Maneater) et ont été samplés à maintes reprises par tous les groupes de rap de la planète (De La Soul, Notorious Big, Kayne West, etc.). Le plus célèbre étant le sampling de I Can't Go for That par Simply Red en 2003 pour le titre Sunrise.
De retour sur scène à Dublin en juillet 2014 pour une sorte de best of live de 15 titres seulement, les deux compères livrent une prestation appliquée qui prouve que, même si le style a un peu vieilli, les tubes demeurent intemporels.
Et puis il y a Charlie DeChant au saxo, et lorsque la caméra s'arrête sur lui et ses solos, on ne peut qu'être sous le charme.
Éric Le Ven - Publié le 30/03/15
Bonus
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Interview du tandem (14') |
Daryl Hall et John Oates évoquent, de manière un peu trop formatée, les musiciens, leurs chansons et ce concert à Dublin. |
Image
Capté au sein de l'Olympia Theater de Dublin, le concert est mis en scène et monté avec sobriété. La caméra prend le temps de s'attarder sur les musiciens et les deux vedettes de la soirée, la définition ne vacille pas et les couleurs sont généreuses. Il n'y a vraiment rien à jeter. |
Son
Le son est un poil décevant. La piste 5.1 offre moins de chaleur et de densité qu'espéré. Ce n'est pas franchement rédhibitoire, mais ça se sent. Et pourtant, tous les instruments sont bien découpés, les voix limpides et les solos incisifs. Reste que tout cela manque d'épaisseur. Les titres doux, en revanche, passent très bien. |