Le septième fils
Seventh Son
Année : 2014
Réalisateur : Sergueï Bodrov
Casting : Jeff Bridges, Ben Barnes, Julianne Moore, Kit Harington
Éditeur : Universal
BD : BD-50, 102', zone B
Genre : fantastique, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 28/04/15
Prix ind. : 19,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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2.35
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HD 1 080p (AVC)
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16/9
Bande-son
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Français DTS 5.1
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Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
Depuis plusieurs années, Maître Gregory (Jeff Bridges), dit « L'épouvanteur », retenait prisonnière la redoutable sorcière Mère Malkin (Julianne Moore) dont il était autrefois épris. Sauf qu'aujourd'hui, elle s'est échappée et cherche à se venger. Pour la combattre, Maître Gregory va devoir trouver un nouvel apprenti et le former. Et c'est sur Tom Ward, « septième fils d'un septième fils » selon la légende, que L'épouvanteur jette son dévolu..
Version ultra‑condensée du roman de Joseph Delaney (L'apprenti épouvanteur), Le septième fils s'inscrit dans la tradition du film d'héroic fantasy familial dans la lignée de Willow, Kalidor, Cœur de dragon et consorts.
C'est loin d'être le film de l'année, mais ça se laisse regarder. Allez, une étoile en plus pour Jeff Bridges et Julianne Moore.
Éric Le Ven - Publié le 27/03/15
Bonus
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Scènes coupées et alternatives (27') |
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Making of découpé en trois parties (25') |
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Quatre modules sur les effets spéciaux (le décès de Bradley, la bataille de Pendle, la poursuite du Gobelin, le combat de Boldmere) (4') |
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La légende et les traditions du Septième fils (4') |
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Fin alternative (1') |
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Copie numérique au format UltraViolet |
Pour ceux qui aiment explorer les coulisses du cinéma et des effets spéciaux, il y a le making of. Et pour ceux qui veulent du rab', il y a les scènes coupées. Comme ça, tout le monde est content. |
Image
L'ambiance visuelle du film oscille entre celle de Blanche‑Neige et le chasseur et celle de Willow. Du château de la sorcière à la forêt des Gobelins en passant par les montagnes de Grendel et les forteresses médiévales traversées par les deux héros, le film propose une image léchée dont tous les paramètres sont au vert. |
Son
L'activité acoustique est intense sur cette piste 5.1 qui ne fait pas dans la dentelle et qui ne se repose jamais. Si la VF ne propose pas de haute définition, elle garantit malgré tout une ribambelle d'effets arrière puissants et ciblés, soutenus par des basses rugissantes. En VO, c'est toutefois plus fin et plus nuancé, et au final meilleur. |