Mechanic : Resurrection
Année : 2016
Réalisateur : Dennis Gansel
Casting : Jason Statham, Jessica Alba, Sam Hazeldine, Tommy Lee Jones, Michelle Yeoh
Éditeur : Metropolitan Film & Vidéo
BD : BD-50, 98', zone B
Genre : action, couleurs
Interdiction : tous publics (certaines scènes peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes)
Sortie : 02/01/17
Prix ind. : 24,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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2.35
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HD 1 080p (AVC)
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16/9
Bande-son
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Français DTS‑HD Master Audio 5.1
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Anglais DTS‑HD Master Audio 5.1
Sous-titres
Français, audiodescription pour sourds et malentendants
Arthur Bishop, ex‑tueur à gages, vit une retraite très secrète à Rio au Brésil. Crain, un trafiquant d’armes, le retrouve et tente de le contraindre à reprendre du service pour tuer trois cibles extrêmement bien protégées. Bishop fuit et se réfugie en Thaïlande. Il y tombe amoureux de Gina, une femme violentée, avant de se rendre compte qu’il est tombé dans un piège…
Dans cette suite du Flingueur, Jason Statham et le réalisateur Dennis Gansel louchent très clairement à la fois sur les terres de James Bond, Jason Bourne et Mission impossible. Sans égaler aucune de ces références, le film se regarde néanmoins sans déplaisir.
Le musculeux comédien britannique distribue avec entrain les bourre‑pifs et le divertissement s’avère suffisamment rythmé et riche en morceaux de bravoure ‑particulièrement l’acrobatique « meurtre de la piscine »‑ pour qu’on lui pardonne son intrigue cousue de fil blanc et quelques effets numériques imparfaits. Rangez les neurones, sortez les pop‑corn et profitez du spectacle !
Paco Altura - Publié le 25/01/17
Bonus
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Les secrets de la résurrection (making of) (9') |
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La musique de Mark Isham (8') |
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Les cascades de Jason Statham (1') |
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La prison malaisienne (1') |
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L'alliance avec Michelle Yeoh (1') |
Des bonus en VOST très conventionnels, parfois bâclés (les cascades), occasionnellement intéressants (le compositeur Mark Isham, la prison malaisienne) mais rapidement oubliables. |
Image
Une bonne facture globale avec des visages et des paysages détaillés. La photographie légèrement vintage passe bien, que ce soit sur des paysages urbains illuminés de soleil ou lors des ambiances nocturnes de feu de camp. Ce master HD révèle aussi logiquement certains effets spéciaux numériques de moindre qualité (explosion du yacht, arrivée dans l'île prison). |
Son
VF et VO se valent côté voix, ambiances et spatialisation. La VOST dispose néanmoins d'une dynamique musicale nettement plus accrocheuse magnifiant les nappes sonores de Mark Isham, clairs clins d'œil aux compositions de John Barry pour James Bond. |