Le château des morts vivants

Il castello dei morti vivi
Année : 1964
Réalisateurs : Luciano Ricci, Lorenzo Sabatini
Casting : Christopher Lee, Gaia Germani, Philippe Leroy, Mirko Valentin, Donald Sutherland, Antonio De Martino
Éditeur : Artus Films
DVD : DVD-9, 86', zone 2
Genre : horreur, N&B
Interdiction : tous publics
Sortie : 21/06/11
Prix ind. : 14,99 €
sans Must AV
Critique

Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
1.66
SD 576i (Mpeg2)
16/9 compatible 4/3
Bande-son
Italien Dolby Digital 1.0
Anglais Dolby Digital 1.0
Sous-titres
Français
Au début du XIXe siècle, une troupe de forains ambulants est invitée dans un château reculé afin de distraire un comte mystérieux nommé Drago (Christopher Lee). Passionné de taxidermie (ce qui est rarement bon signe : remember Anthony Perkins dans Psychose…), l’aristocrate vit seul, en compagnie de Hans, son valet. La demeure regorge ainsi d’animaux embaumés de toutes espèces qui paraissent plus vrais que nature. Très vite, les disparitions s’enchaînent au sein du groupe d’artistes. Et si les horribles expériences du comte ne se limitaient pas seulement aux bêtes ?

Pépite gothique de 1964, issue d’une production franco‑italienne, Le château des morts vivants est un classique de l’horreur qui emprunte, une fois n’est pas coutume, la grande thématique du désir d’éternité (on pense parfois au cinéma de Mario Bava) et le dilue dans un cognac, une fléchette ou encore une seringue empoisonnée.

Dans les dédales du château, bêtes et hommes cohabitent passivement, figés pour toujours, et reconfigurent l’espace en un étrange musée de cire. Christopher Lee excelle dans son rôle de taxidermiste morbide, tandis que Donald Sutherland, en commissaire de police maladroit, fait sa première apparition au cinéma.
Carole Lépinay - Publié le 26/08/11
Bonus
- Le château maléfique par Alain Petit (46')
- Diaporama de photos (1')

Excellente présentation du Château des morts vivants par Alain Petit, spécialiste du Cinéma‑Bis. Il revient sur la dimension extrêmement composite de sa production (le film ayant bénéficié d'un double financement, italien et français) et les motifs de sa non‑distribution en France. Petit nous introduit dans l'histoire d'un cinéma bien à part, tout en commentant la prestigieuse carrière de Christopher Lee et celle, qui débutait à peine, de Donald Sutherland.
Note bonus : 4/6
Image
Même s’il aura fallu attendre quarante‑sept ans pour découvrir ce petit monstre du cinéma horrifique italien, la qualité de l’image est une récompense à laquelle peu de spectateurs s’attendaient. Les contrastes sont sublimes, et les rares lignes noires venant succinctement scinder notre écran en deux ne ternissent en rien le travail exemplaire de la restauration. Un bijou qui, contrairement aux dires d’un certain Docteur Jones, n’a plus sa place dans un musée mais bien dans nos salons.
Note image : 5/6
Son
Partie sonore moins alerte que l'image, c'est certain. Il faudra donc choisir entre une piste anglaise jouant un peu trop sur les basses et une piste italienne certes plus clinquante, mais n'offrant pas la même prestance aux élucubrations de Christopher Lee et Donald Sutherland. Et si vous vous amusez à jongler entre les deux pistes, vous constaterez que le générique de départ diffère !
Note son : 3/6


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