The Last Minute

Billy Byrne (Max Beesley), un jeune homme de 26 ans, tente de percer dans le monde de la télévision. Un jour, il invente une théorie complexe sur le fonctionnement du cerveau qui lui permet de se retrouver sur le devant de la scène de façon épisodique.

Néanmoins, son ambition dévorante ne suffit pas à provoquer gloire et célébrité. Sans cesse critiqué par les médias, délaissé par sa copine à cause de son ego démesuré, Billy, dont la principale préoccupation est l’urgence de vivre, va devoir affronter les difficultés de la vraie vie. Il fait la connaissance d’une laissée‑pour‑compte et d’une bande d’enfants qui tentent de survivre à coups de petits larcins. Du jour au lendemain, les conceptions de Billy évoluent et celui auquel sa copine reprochait de ne pas vivre sa vie à force de la théoriser, ne va pas tarder à goûter à une expérience hors du commun.

Dès la première séquence, Billy Byrne délivre le compte à rebours de l’existence ‑soit 32 850 jours pour 90 ans‑, on s’attend alors à une grande réflexion sur le temps et la nécessité de vivre à cent à l’heure, mais on se retrouve juste face aux délires égocentriques d’un grand enfant paumé. Dommage, cela promettait pourtant d’être passionnant.