par Jacquemin Vidal
le 05 février 2008

Sony VPL-VW200

A
note
6.4
10
prix
12 999 €
les plus
  • Image de haute volée
  • Définition et luminosité
  • Densité et détail des noirs
  • Colorimétrie exceptionnelle
  • Compensation de mouvements efficace
  • Fluidité même sans compensation de mouvements
les moins
  • Pas de Lens Shift horizontal
  • Prix de la lampe de rechange
  • Dark Frame Insertion sans intérêt
  • Pas de compensation de mouvements en 1 080p/24
présentation

Évolution notable du VPL-VW100, le VPL-VW200 en reprend le corps et l’esprit, mais ajoute de nombreuses améliorations optiques et électroniques pour accéder au statut de machine de rêves. La définition de la matrice SXRD est tout simplement exemplaire, avec une totale absence d’effet de grille (aucun pixel visible) et une précision chirurgicale (décalage interpixel quasi inexistant). La colorimétrie est superbe, tout comme la luminosité générale (merci la lampe Xenon). Les noirs sont profonds et surtout détaillés (images sombres non bouchées). La fluidité générale est exceptionnelle, et la connectique répond à absolument tous les besoins avec, entre autres, deux HDMI compatible CEC. Mais n’oublions pas le traitement vidéo de haute volée. Désentrelacement et Upscaling sont irréprochables. Quant à la compensation de mouvements, elle est efficace à tous les niveaux. On regrette juste qu’elle ne soit pas active en 1 080p/24. Par contre, on cherche encore l’intérêt du Dark Frame Insertion, qui en dehors de faire papilloter l’image, n’apporte à nos yeux aucun avantage ! Heureusement, on peut le désactiver, ce qui ne gâche rien au merveilleux spectacle visuel offert par ce vidéoprojecteur.

spécifications

    Warning: Undefined array key "CMPG" in /var/www/vhosts/avcesar.com/httpdocs/includes/sections/tech/specsManager/videoprojecteur.php on line 296
  • référence Sony VPL-VW200
  • type SXRD
  • résolution native totale 1 920 x 1 080 pixels
  • standard HD Ready 1 080p
  • luminosité 800 lumens
  • contraste 35 000
  • iris dynamique
  • lampe Xenon, 400 W, 2 500 h
  • modèle 2/3 de salle
  • lens shift vertical (piloté)
  • zoom 1,8x (piloté)
  • mise au point pilotée
  • connectique 2 entrées HDMI (v 1.3), 1 entrée YUV (RCA), 1 entrée Data (Sub-D15), 1 entrée S-vidéo, 1 entrée Composite, 1 port Ethernet, 1 port RS-232, 1 sortie Trigger, compatibilité RVB vidéo via Sub-D15
  • compatibilité NTSC (480i, 480p), Pal (576i, 576p), HD (720p/50, 720p/60, 1 080i/50, 1 080i/60), Full HD (1 080p/24, 1 080p/50, 1 080p/60), Ultra HD (2 160p/24), Data (SXGA+)
  • usage CEC, xvYCC, Deep Color, Super 4/3, 4/3, 16/9, zoom Letterbox, zoom Letterbox sous-titres, zoom 2.35 (16/9, HD), Overscan, télécommande rétroéclairée
  • réglage température de couleur (paramétrable en RVB), balance des blancs (CMJRVB), réglage de gamma (préréglable), renforcement des noirs (oui), désentrelacement (vidéo/film) automatique
  • réducteur de bruit D NR
  • optimisation de la netteté dans les mouvements en SD 480i/576i, en ED 480p/576p, en HD 720p/1 080i, en Full HD 1 080p/24/50/60, en Ultra HD (2 160p/24)
  • compensation de mouvement en SD 480i/576i, en ED 480p/576p, en HD 720p/1 080i, en Full HD 1 080p/50/60, en Ultra HD (2 160p/24
  • bruit 22
  • consommation 630 W(0,5 W en veille)
  • dimensions l. 496 x h. 175 x p. 574mm
  • poids 20kg
concurrence

Ce vidéoprojecteur Sony VPL-VW200 a finalement assez peu d’adversaire si l’on se fixe uniquement sur le prix. On dénombre le Marantz VP-15S1 (mono DLP), le DreamVision DreamBee (LCD réflectif) ou encore le Runco RS-1100 (mono DLP). Mais aucun ne propose de lampe Xenon, et encore moins de compensation de mouvements.

concurrence

    Warning: Undefined array key "CMPG" in /var/www/vhosts/avcesar.com/httpdocs/includes/sections/tech/specsManager/videoprojecteur.php on line 296
  • référence Sony VPL-VW200
  • type SXRD
  • résolution native totale 1 920 x 1 080 pixels
  • standard HD Ready 1 080p
  • luminosité 800 lumens
  • contraste 35 000
  • iris dynamique
  • lampe Xenon, 400 W, 2 500 h
  • modèle 2/3 de salle
  • lens shift vertical (piloté)
  • zoom 1,8x (piloté)
  • mise au point pilotée
  • connectique 2 entrées HDMI (v 1.3), 1 entrée YUV (RCA), 1 entrée Data (Sub-D15), 1 entrée S-vidéo, 1 entrée Composite, 1 port Ethernet, 1 port RS-232, 1 sortie Trigger, compatibilité RVB vidéo via Sub-D15
  • compatibilité NTSC (480i, 480p), Pal (576i, 576p), HD (720p/50, 720p/60, 1 080i/50, 1 080i/60), Full HD (1 080p/24, 1 080p/50, 1 080p/60), Ultra HD (2 160p/24), Data (SXGA+)
  • usage CEC, xvYCC, Deep Color, Super 4/3, 4/3, 16/9, zoom Letterbox, zoom Letterbox sous-titres, zoom 2.35 (16/9, HD), Overscan, télécommande rétroéclairée
  • réglage température de couleur (paramétrable en RVB), balance des blancs (CMJRVB), réglage de gamma (préréglable), renforcement des noirs (oui), désentrelacement (vidéo/film) automatique
  • réducteur de bruit D NR
  • optimisation de la netteté dans les mouvements en SD 480i/576i, en ED 480p/576p, en HD 720p/1 080i, en Full HD 1 080p/24/50/60, en Ultra HD (2 160p/24)
  • compensation de mouvement en SD 480i/576i, en ED 480p/576p, en HD 720p/1 080i, en Full HD 1 080p/50/60, en Ultra HD (2 160p/24
  • bruit 22
  • consommation 630 W(0,5 W en veille)
  • dimensions l. 496 x h. 175 x p. 574mm
  • poids 20kg
verdict technique

Pour résumer, ce vidéoprojecteur VPL-VW200 est une vraie bête de course. Les ingénieurs maison ont utilisé le top de la technologie Sony, à savoir le SXRD (LCD réflectif) pour afficher 1 920 x 1 080 pixels avec la meilleure finesse et réactivité possible. Ils ont ajouté un objectif de haute qualité, entièrement piloté et signé Carl Zeiss. Ce dernier propose d’ailleurs un zoom important et une plage de fonctionnement parfaite pour une utilisation domestique même s’il manque un Lens Shift horizontal. Ils ont combiné le tout avec une lampe Xenon offrant la plus belle colorimétrie possible, sans oublier de greffer à cet ensemble une électronique de haut vol. Résultat, l’image est vraiment de toute beauté.


Alors, certes, subsistent encore de rares critiques comme l’impossibilité d’activer la compensation de mouvements en 1 080p/24. Mais le piqué est superbe et la colorimétrie chaleureuse à souhait en toute circonstance. Les noirs sont denses et détaillés, même avec l’iris désactivé (au passage, notez qu’une fois activé, il n’engendre pas de pompage notable) et la dynamique est superbe, en basse comme en haute lumière. Enfin, le désentrelacement comme l’Upscaling sont irréprochables. Quant à la fluidité, rien à redire, c’est parfait, même sans l’aide de la compensation de mouvements. Malgré tout, avec la sélection de ce traitement Motion Flow, l’image gagne en précision et en netteté dans les travellings, les panoramiques ou les mouvements rapides. Il est d’ailleurs difficile, pour ne pas dire impossible, de le mettre en défaut. Reste le Dark Frame Insertion, une véritable énigme à nos yeux… On a beau l’essayer dans tous les sens, il n’apporte aucun avantage si ce n’est faire papilloter l’image plus que de normal, pour un moindre confort de visionnage. Heureusement, on peut le désactiver, et profiter ainsi de l’image réellement cinéma offerte par cet appareil…

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