Pink Floyd : the Story of Wish you Were Here
Année : 2012
Réalisateur : John Edginton
Avec : David Gilmour, Nick Mason, Roger Water, Richard Wright
Éditeur : Eagle Vision
BD : BD-25, 60', toutes zones
Genre : documentaire, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 26/06/12
Prix ind. : 19,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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1.78
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HD 1 080i (AVC)
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16/9 natif
Bande-son
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DTS-HD Master Audio 5.1
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PCM 2.0
Sous-titres
Français, anglais, allemand, espagnol
En septembre 1975, la sortie de l’album Wish you Were Here de Pink Floyd fait l’effet d’une bombe. Néanmoins, cet énorme succès commercial cache un itinéraire sinueux, ponctué de difficultés logistiques, liées aux conditions d’enregistrement dans les studios londoniens d’Abbey Road, quand il n’est pas hanté par le souvenir de Syd Barrett (ancien membre et leader charismatique du groupe, guetté par la schizophrénie).
David Gilmour et Roger Waters commentent les prémisses et l’horizon déceptif de cet album‑concept, dont la mélancolie latente abrite le thème de l’absence. L’inaugurale Shine on you Crazy Diamond rend hommage à Syd Barrett, disparu, à sa façon, dans les méandres des drogues dures, tandis qu’affleure une critique féroce de l’industrie musicale, avec des chansons telles que Have a Cigar ou Welcome to the Machine.
Entre réminiscence contextuelle et analyse musicale, ce documentaire consacré à l’histoire d’un album, associée à celle du groupe, est une synthèse réussie.
Carole Lépinay - Publié le 03/09/12
Bonus
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Images supplémentaires (26') |
En bonus, nous avons droit à quelques images bonus, dont l'interprétation toute personnelle de Wish You Were Here par Roger Waters. |
Image
Mêlant images d'archives et interviews récentes captées en HD, ce documentaire propose une qualité d'image tout à fait convaincante. |
Son
Hormis sur quelques séquences musicales où David Gilmour interprète seul à la guitare quelques petits morceaux de l'album, la version DTS-HD Master Audio 5.1 ne présente pas d'intérêt majeur. Elle prend toutefois davantage de place à l'avant que la piste PCM, et les mélodies du groupe présentes en arrière‑plan pendant les interviews sont propulsées avec davantage de grâce. |