par Laurence Mijoin
19 avril 2011 - 11h05

Alibi

VO
Lies and Alibis
année
2006
Réalisateurs
InterprètesSteve Coogan, Rebecca Romijn, Sam Elliott, James Brolin, Selma Blair, John Leguizamo
éditeur
genre
notes
critique
5
10
A

Ancien escroc, Ray Elliot (Steve Coogan) gère aujourd’hui une fructueuse entreprise dont la principale activité est de fabriquer des alibis pour les hommes et les femmes infidèles. Pour parfaire son équipe, il embauche la magnifique Lola (Rebecca Romijn). Refusant les contrats risqués, il accepte toutefois la demande d’un de ses plus fidèles clients, qui consiste à couvrir son fils (James Marsden) à la veille de son mariage, parti en escapade avec une jolie demoiselle. Mais l’aventure tourne mal, et celui‑ci tue involontairement sa maîtresse durant l’acte sexuel. Menacé de toutes parts, soit de garder le silence, soit de dénoncer le coupable, Ray va imaginer, avec l’aide de Lola, un stratagème aussi complexe que jubilatoire pour se débarrasser de ceux qui veulent sa peau…

Le principal atout de ce direct‑to‑video s’avère être son délicieux casting : Rebecca Romijn, Selma Blair et Jaime King du côté des femmes, et, pour la gent masculine, Steve Coogan dans le rôle principal, le trop rare John Leguizamo, James Marsden en fils à papa poltron et Sam Elliott en tueur à gages mormon. Une belle galerie de personnages déjantés à souhait qui autorisent tous les cabotinages, ici de bon aloi. Mais cette comédie policière pèche hélas par excès d’ambition, le script, trop complexe et rigide, entraînant inéluctablement le film vers un dénouement confus.

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Lies and Alibis
Tous publics
Prix : 19,99 €
disponibilité
01/03/2011
image
2.35
HD 1 080p (AVC)
16/9 natif
bande-son
Français DTS-HD Master Audio 5.1
Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
sous-titres
Français
8
10
image
Sans délivrer une copie renversante, cette édition propose une image de bonne facture, dotée d'une définition impeccable (principalement sur les gros plans) et d'un léger grain bienvenu. On note également une belle stabilité des couleurs, des noirs profonds, une colorimétrie harmonieuse et des teintes soutenues, présentant toute la palette habituelle du cadre californien (bleus intenses, couleurs chaudes).
8
10
son
Outre la musique d'Alexandre Desplat, principalement présente sur les enceintes avant, dotée d'une belle dynamique et d'un mixage équilibré, l'ensemble s'avère très efficace. Notre choix se portera de préférence sur la VO DTS-HD Master Audio 5.1, à la spatialisation plus fine (notamment sur les canaux arrière) et aux voix plus naturelles (il serait d'ailleurs dommage de se priver de l'accent « typically british » de Steve Coogan). En VF, on profitera d'une piste percutante, avec des dialogues très clairs et des doublages corrects, bien que les voix soient un peu trop mises en avant.
0
10
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