par Jean-Baptiste Thoret
05 mai 2011 - 16h59

Barry Lyndon

année
1975
Réalisateur
InterprètesRyan O’Neal, Marisa Berenson, Patrick Magee
éditeur
genre
notes
critique
8
10
label
A

Dans le XVIIIe siècle anglais, peu de chance de se faire une place au sein de l’aristocratie. C’est pourtant ce qu’un homme ordinaire (Ryan O’Neal) va tenter en devenant l’amant, puis le mari, d’une femme richissime (Marisa Berenson).

Au‑delà de la performance plastique (toutes les séquences d’intérieur furent éclairées uniquement à la bougie et Kubrick fit construire des objectifs spéciaux pour en capter toute l'essence), Barry Lyndon est un film grandiose sur l’ascension et la chute d’un homme du peuple, prêt à tout pour acquérir pouvoir et argent. Un chef‑d’œuvre, tout simplement.

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Tous publics
Prix : 14,99 €
disponibilité
18/05/2011
image
1.77
HD 1 080p (AVC)
16/9 natif
bande-son
Français Dolby Digital 5.1
Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
Espagnol Dolby Digital 5.1
Allemand Dolby Digital 5.1
Italien Dolby Digital 5.1
Portugais Dolby Digital 5.1
Espagnol Dolby Digital 5.1
sous-titres
Français, anglais pour sourds et malentendants, norvégien, portugais, suédois, italien, danois, néerlandais, finnois, allemand pour sourds et malentendants, italien pour sourds et malentendants, chinois
7
10
image
La sublime photographie du film (1975, et elle ne fait vraiment pas son âge), les éclairages à la bougie, les teintes pastel et les scènes nuit font encore beaucoup d'effet ; elles présentaient cependant nombre de difficultés pour l'encodage HD. Mais on s'attendait pourtant à mieux, surtout au niveau de la brillance, de la définition (même si la volonté de Kubrick n'était pas d'afficher une précision chirurgicale, au contraire) et de la clarté au niveau de la profondeur de champ. Quelques plans (les bateaux) se démarquent encore plus en présentant des fourmillements plutôt denses. Cela dit, la magie de la texture si particulière du film est intacte.
7
10
son
Une piste DTS-HD Master Audio 5.1 dévouée aux scènes de batailles et à la bande originale du film. Les airs des Chieftains, l’allegro de Bach, la sarabande de Haendel, l’opéra de Mozart ou le trio pour piano de Schubert sont restitués avec élégance et finesse. Magique, en VO s'entend. Car en VF, la différence de son est énorme. Les basses et la dynamique, donnant tout l'éclat en anglais, font grandement défaut en français, même si cette piste n'est pas dénuée de détails sonores.
0
10
bonus
- Bande-annonce originale
Une édition proposée à prix accessible, mais sans un seul petit bonus autour du film.
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