par Carole Lépinay
13 décembre 2010 - 12h21

Bee Gees : in our Own Time

année
2010
Producteur
AvecMaurice Gibb, Robin Gibb, Barry Gibb, Andy Gibb…
éditeur
genre
notes
critique
5
10
A

L’histoire de la carrière des principaux initiateurs du disco à la fin des années 60 racontée par les membres du groupe eux‑mêmes. Les Bee Gees, ce sont trois frères légendaires, originaires du Nord‑Ouest de l’Angleterre, qui débutent leur carrière en Australie. La fin des Sixties marque leur consécration internationale. Néanmoins, il existe une transition entre leurs premières ballades et leur progression musicale très marquée par l’influence disco. Tout au long des interviews, leur style se révèle, et leurs attentes aussi.

À travers cette autobiographie commentée, Barry et Robin Gibb nous immergent dans l’effervescence d’une période, presque hors du temps (notamment leurs séances d'enregistrement). Les commentaires approfondis de l’un des jumeaux, Maurice, se pérennisent après sa disparition en 2003. Et pour prolonger la fièvre d’une époque festive, colorée et parfois nostalgique, des extraits vidéo de leurs plus grands tubes : Night Fever, How Deep is your Love, Styin' Alive, Let’s Dance.

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Tous publics
Prix : 24,99 €
disponibilité
16/11/2010
image
1.77
HD 1 080p (AVC)
16/9 natif
bande-son
DTS-HD Master Audio 5.1
Dolby Digital 5.1
Stéréo PCM
sous-titres
Français, anglais, allemand, espagnol, italien, néerlandais, portugais
5
10
image
Diverses sources pour des qualités d'image variées, que ce soit en couleurs ou en N&B. Clips, émissions TV, films personnels, extraits de concerts et diaporamas photos pour un ensemble qui semble sortir d'une autre époque. Seules les interviews très récentes présentent une tenue optimale.
7
10
son
Une fois n'est pas coutume, nous préférons la piste stéréo, de loin la meilleure pour sa précision, sa chaleur et son authenticité. La plupart des documents étant d'époque, leur simple passage en 5.1 (Dolby Digital ou DTS-HD Master Audio) ne fonctionne pas totalement, avec un poil d'agressivité et un petit côté artificiel. Sans compter que le mix multicanal brouille un peu le message sur les clips ou les extraits de concerts. Préférez la stéréo, généreuse en basses qui plus est.
0
10
bonus
- Aucun
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