La dernière légion

Rome. 476 après J-C. L’Empire est menacé par les armées barbares. Oreste, maître de l’Empire romain d’Occident, assiste au couronnement de son fils, Romulus Auguste. Malgré la protection rapprochée de la IVe légion commandée par Aurelius, Romulus est capturé par Odoacre, chef des Goths…


Catastrophique sur toute la ligne, cette fresque historique ne tient pas debout un seul instant. Des personnages affreusement transparents (mais déguisés comme pour un bal masqué), une mise en scène d’une platitude consternante, une interprétation calamiteuse, un scénario abscons bourré de raccourcis historiques, voilà un véritable navet qui nous ramène aux pires heures du péplum.