par Carole Lépinay
02 février 2009 - 09h19

Never Back Down

année
2007
Réalisateur
InterprètesSean Faris, Amber Heard, Cam Gigandet, Evan Peters, Djimon Hounsou
éditeur
genre
notes
critique
5
10
A

Nouveau résident à Orlando, Jake Tyler (Sean Faris) doit s’adapter à un rythme de vie radicalement différent de celui qu’il a connu dans l’Iowa. Sa mère, avec laquelle il entretient des rapports tumultueux, l’a contraint à cet exil à cause de son petit frère, dont la seule aspiration est de poursuivre une carrière de joueur de tennis professionnel.

Au lycée, Jake éprouve certaines difficultés à s’intégrer, mais finit par faire la connaissance de Baja Miller (Amber Heard), une jolie blonde qui ne le laisse pas indifférent. Pourtant, lors d’une soirée, ses problèmes d’adaptation s’enveniment : un jeune minet imbu de lui-même le provoque et l’incite à se battre. Grâce à son seul ami Max (Evan Peters), il sera initié aux sports de combat et rencontrera Jean Roqua (Djimon Hounsou, Blood Diamond), un professeur d’arts martiaux riche d’expériences et de sagesse. Que le meilleur gagne.

Entre Ong-Bak et le teen-movie, Never Back Down cherche sa place et accouche d'une simple histoire d’adolescents avec règlements de comptes gentillets en prime. On notera la référence à Rocky 5 lors de la séquence finale, filmée en extérieur, avec ce corps à corps explosif se prolongeant sur le bitume, la passion et la rigueur de la mise en scène en moins.

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Tous publics
Prix : 19,99 €
disponibilité
12/11/2008
image
2.35
SD 575i (Mpeg2)
16/9 compatible 4/3
bande-son
Français Dolby Digital 5.1
Français Dolby Digital 2.0
Anglais Dolby Digital 5.1
Anglais Dolby Digital 2.0
sous-titres
Français imposés sur la VO
8
10
image
Pas grand-chose à redire. La photo très froide du début laisse peu à peu la place à une ambiance plus chaleureuse avec l'arrivée de Tyler à Orlando. Un ensemble très propre à part quelques scènes sombres qui ont la bougeotte. Le reste du temps, le grain cinéma fait son petit effet.
7
10
son
Pour un film de boxe (ou presque), c'est le calme plat. Pas d'ampleur, pas d'ambition, pas d'effets. En fait, que des dialogues et de la musique spatialisée à l'arrière lors du combat final, où les choses s'accélèrent vraiment au niveau du caisson et de l'emphase. En gros, les vingt dernières minutes. Ça rattrape le reste. Stéréo très lisse et aphone en ce qui concerne l'impact des coups.
3
10
bonus
- Scènes coupées présentées par le réalisateur (8')
- Combats en Multi-Angle (8')
- Bandes-annonces (6')
Pour les amateurs de coups de tatane.
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