En presque 2 minutes, cette bande‑annonce installe une ambiance de fin du monde d’une redoutable efficacité. Hilditch, déjà remarqué pour These Final Hours et son adaptation glaçante de Stephen King 1922, revient ici à ses obsessions : la survie, la perte et la résilience humaine face à l’impensable.
Les plans sont précis, presque cliniques, les effets spéciaux discrets mais percutants, et surtout, la direction sonore et musicale donne à elle seule des frissons. On y découvre une Daisy Ridley sobre, intense, totalement investie, dans un rôle bien éloigné de Star Wars, qui pourrait bien marquer un tournant dans sa carrière post‑blockbuster.
We Bury the Dead avec Daisy Ridley, ça commence bien
Le synopsis de We Bury the Dead précise : « Suite à une expérience militaire américaine ayant viré au désastre, une vague de morts mystérieuses frappe l’île australienne de Tasmanie. Ava (Ridley) rejoint une unité de récupération de corps, chargée d’identifier les victimes tout en espérant retrouver son mari disparu dans la zone sinistrée. Mais alors qu’elle traverse un paysage ravagé, elle découvre que certaines des victimes… ne le restent pas. Le cauchemar ne fait que commencer ».
Survival à la croisée de The Road et 28 jours plus tard, We Bury the Dead promet de conjuguer horreur, émotion et tension psychologique. Brenton Thwaites (Titans), Mark Coles Smith (Mystery Road : Origin), Matt Whelan (Narcos) et Chloe Hurst (Scarlett) complètent le casting.
Sortie américaine prévue pour le 2 janvier 2026. Sortie française attendue courant janvier 2026.
