Wayward Pines saison 1
Année : 2015
Réalisateur : Chad Hodge
Casting : Matt Dillon, Carla Gugino, Toby Jones, Juliet Lewis, Shannyn Sossamon, Charlie Tahan, Melissa Leo
Éditeur : Fox
BD : 2 BD-50, 10 x 42', zone B
Genre : thriller fantastique, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 31/10/15
Prix ind. : 34,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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1.78
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HD 1 080p (AVC)
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16/9
Bande-son
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Français DTS 5.1
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Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
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Allemand DTS 5.1
Sous-titres
Français, néerlandais, allemand, anglais
Première incursion du réalisateur M. Night Shyamalan (Sixième sens, Incassable) dans le monde de la série TV (en tant que producteur), Wayward Pines met en scène Ethan Burke (Matt Dillon), un membre du Secret Service (agence fédérale en charge de la sécurité du président des États-Unis) envoyé par ses supérieurs à Wayward Pines, une petite ville de l'Idaho, pour enquêter sur la disparition de deux de ses collègues. En route, il est victime d’un accident de voiture. À son réveil, sa vie va rapidement devenir un cauchemar.
Mélangeant savamment le présent et le passé, multipliant les personnages et les situations énigmatiques, M. Night Shyamalan et Chad Hodge prennent un malin plaisir à malmener leur héros isolé du monde extérieur. Son angoisse permanente devient la nôtre et la soif d’explication sur ce qui se déroule réellement à Wayward Pines nous hante littéralement à chaque épisode.
Les questions se multiplient et si, au final, les réponses n’en sont pas toujours à la hauteur de nos attentes, elles ont le mérite d’être cohérentes. Soutenu par une mise en scène et un montage précis, le casting est édifiant.
Une série délicieusement anxiogène qui rappelle par bien des aspects le célèbre Prisonnier, ou encore le mémorable Truman Show de Peter Weir. Suspense et frissons garantis.
Cédric Melon - Publié le 31/10/15
Interview Matt DillonÀ 51 ans et plus de 35 ans de carrière au cinéma, Matt Dillon (
The Outsiders,
Rusty James,
Sexcrimes,
Collision) n’avait jamais tourné de série TV. Pour sa première fois, il a choisi de faire confiance à M. Night Shyamalan (
Sixième sens,
Incassable) et à un récit fantastique délicieusement anxiogène. Confidences d’un acteur disponible et sympathique.
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Bonus
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Créer une ville idyllique (9') |
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Créer une mythologie (10') |
Court et très promo, mais quelques petites infos techniques à glaner sur les décors notamment (mélange des années 30, 40, 50 pour un résultat étonnant conférant à cet univers une intemporalité certaine). |
Image
Les moyens sont conséquents et cela se voit à l'image. Décors étranges, illusion d'une ville parfaite dans un monde presque parfait… en quelques plans seulement, l'ambiance est plantée. La HD fait péter les noirs et briller les lumières. Les nombreuses scènes sombres s'en portent d'autant mieux. |
Son
Principalement frontale en VO comme en VF, la scène sonore joue la sécurité mais fait le job. D'autant que quelques incursions parviennent de temps à autre à réveiller les enceintes et le caisson de basses. La musique sonne bien également. Classique mais solide. |