Le Bon Gros Géant

The BFG
Année : 2016
Réalisateur : Steven Spielberg
Casting : Mark Rylance, Ruby Barnhill, Penelope Wilton, Jemaine Clement, Rebecca Hall, Rafe Spall
Éditeur : Metropolitan Film & Vidéo
BD : BD-50, 117', zone B
Genre : animation, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 01/12/12
Prix ind. : 19,99 €
Mustav
Critique

Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
2.35
HD 1 080p (AVC)
16/9
Bande-son
Français DTS‑HD Master Audio 7.1
Français Audiodescription
Anglais Dolby Atmos/Anglais Dolby TruHD 7.1
Sous-titres
Français, Français pour sourds et malentendants
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Fnac
19,99 €
Du haut de ses 7 m, le Bon Gros Géant pourrait impressionner (voire terrifier) Sophie (Ruby Barnhill), la petite pensionnaire d'un orphelinat londonien. Mais gentiment kidnappée lors d'une de ses régulières nuits d'insomnie, elle s'aperçoit bien vite qu'il est inoffensif. Celui qu'elle surnomme « BGG » l'emmène chez lui, au Pays des Géants. Là‑bas, ses congénères ne pensent qu'à faire une bouchée de la fillette. Il fait alors tout pour la protéger.

Charlie et la chocolaterie, Fantastic Mr. Fox, autant dire que le célèbre romancier pour la jeunesse inspire le grand écran. Par ailleurs, quoi de plus naturel pour Steven Spielberg, conteur né, de s'emparer de cette fabuleuse histoire située entre un royaume insulaire et les corridors fastueux de Buckingham Palace.

Car afin de contrer l'obsession vorace de ses prédateurs, Sophie sollicite les renforts des armées de la Reine. Débarqué au palais, BGG a tout l'air d'un titan chez les lilliputiens, une table ornée de denrées hissée à sa hauteur, un arrosoir comme verseuse à café, boisson qu'il échangera d'ailleurs contre sa fameuse mixture artisanale, le « frétibulle » qui fait faire des « crépiprout », dans l'étrange mesure où les bulles convergent vers le bas... Une fois partagée avec la communauté royale, The Queen, ses militaires et ses corgis expérimentent ses effets secondaires dans un épisode puéril et marrant.

Morale de ce conte sur la filiation onirique entre un géant solitaire et une petite orpheline : les différences de taille et de monde n'atrophient en rien l'immensité du cœur.
Carole Lépinay - Publié le 20/12/16
Bonus
- La naissance du Bon Gros Géant (27')
- Le Bon Gros Géant et moi (2')
- Le merveilleux charabia du BGG (3')
- Les géants (5')
- En mémoire de Melissa Mathison (6')

La petite Ruby Barnhill alias Sophie nous embarque dans les coulisses merveilleuses du BGG. Steven Spielberg raconte son inoubliable collaboration avec la scénariste Melissa Mathison (auteure du scénario de E.T., elle s'est éteinte en 2015). Si toutefois le langage très spécial du BGG nous avait échappé, un petit module nous permettra (peut‑être) de le décrypter. À noter, la production a attendu quelques années avant de tourner le film, le temps que la technologie leur permette de réaliser tous leurs rêves.
Note bonus : 3/6
Image
Tout l'esprit magique de Noël se retrouve dans ce conte visuellement magnifique. Tout est poussé à l'extrême, détaillé, texturé, coloré et patiné avec goût. Les différents univers du film s'accordent à merveille, les effets spéciaux sont dosés à la perfection (pas d'effet bling‑bling), la profondeur est merveilleusement gérée et aucune fausse note ne vient ternir cette image au master HD impeccable (des noirs un peu plus noirs auraient parfois été bienvenus, mais c'est vraiment pour pinailler). Une grande réussite signée Steven Spielberg et assurément un nouveau Blu‑Ray de démo.

On n'ose imaginer ce que donnerait une version Ultra HD Blu‑Ray de ce film avec un traitement HDR. Espérons que l'éditeur la proposera un jour…
Note image : 6/6
Son
Même satisfaction côté son avec, là encore, du très grand spectacle. L'ampleur, l'aération et la dynamique proposées par Le Bon Gros Géant vont faire pâlir nombre de Blu-Ray. En VO Dolby Atmos, le spectacle prend de la hauteur : les voix des géants semblent réellement provenir d'au‑dessus de nos têtes. Mention spéciale pour les basses avec un caisson de graves largement présent. Les géants, par exemple, bénéficient en permanence d'un surcroît de basses lorsqu'ils marchent ou même bougent, ce qui accroît encore leur gabarit à l'écran.

Pour le reste, on remarque des effets sonores sur chacun des sept canaux avec une ambiance qui sait être nerveuse et riche sur certaines séquences pour se faire calme et douce à d'autres instants. Ces derniers profitent souvent de détails audio d'une incroyable clarté. Le tout avec des voix toujours claires et bien posées. En bref, une piste très subtile et très technique où toutes les possibilités données à un ingénieur son sont ici explorées de la plus belle des façons.

Si vous n'êtes pas équipé Dolby Atmos, vous profiterez alors d'une VO Dolby TruHD 7.1 de même facture, avec une scène sonore supérieure moins précise et spectaculaire cependant. Même remarque avec la VF DTS‑HD Master Audio 7.1, également excellente. Seules les voix, comme à l'accoutumée, sont en cran en dessous avec un moindre naturel.
Note son : 6/6



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