L'échelle de Jacob
Jacob's Ladder
Année : 1990
Réalisateur : Adrian Lyne
Casting : Tim Robbins, Elizabeth Peña, Danny Aiello, Matt Craven
Éditeur : Studiocanal
BD : BD-25, 113', zone B
Genre : drame, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 05/09/17
Prix ind. : 14,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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1.85
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HD 1 080p (AVC)
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16/9
Bande-son
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Français LPCM stéréo 2.0
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Anglais DTS‑HD Master‑Audio 5.1
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Anglais LPCM stéréo 2.0
Vétéran du Viêtnam, Jacob Singer (Tim Robbins) tente d’oublier l’expérience de la guerre. Mais des visions macabres commencent à refaire surface : son fils mort semble vouloir reprendre contact avec lui, des scènes atroces de combat perturbent son sommeil et des individus étranges surgissent autour de lui. Rapidement, Jacob peine à faire la part entre la réalité et le cauchemar.
Métaphore originale sur les effets dévastateurs de la guerre du Viêtnam dans l’inconscient collectif américain, L’échelle de Jacob constitue à ce jour le meilleur film du réalisateur de 9 semaines 1/2, Liaison fatale et Lolita (le remake du film de Kubrick). En 1991, il repartit d'Avoriaz avec le Grand Prix du public.
Jean-Baptiste Thoret - Publié le 28/08/17
Cinécult' Vietnam : trauma-reality :
Aujourd’hui, on pourrait même dire que l’un et l’autre ne sont pas deux événements distincts mais au contraire parfaitement liés. Car au‑delà des films traitant explicitement du conflit, toute la production américaine de l’époque fut sensibilisée par les massacres. Même après la fin des combats en 1975, le Vietnam continua d’infuser les esprits, au point d’apparaître comme un choc traumatique fondateur, expérience de la défaite oblige…
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Bonus
Petit prix, petite édition. |
Image
La définition n’est toujours pas merveilleuse, du moins sur l'ouverture du film. La photographie reste un peu austère, le grain fait quelques apparitions remarquées, les contrastes sont un peu rugueux (surtout dans les scènes sombres), mais le rendu final n'est étrangement pas désagréable. Une copie malgré tout assez éloignée des standards HD actuels. |
Son
La restitution de la piste 5.1 anglaise s’avère plus convaincante que celle de notre petite VF stéréo à la dynamique chétive et sans la moindre emphase. En VO, malgré le manque de naturel du mixage 5.1 (voire la scène d'ouverture guerrière), l’écoute est bien plus agréable. Attention, pas de grands effets arrière, juste quelques ambiances (radio, pluie, rumeurs de la rue). À noter, la belle partition de Maurice Jarre. |