Twilight chapitre 1 : fascination

Twilight
Année : 2008
Réalisateur : Catherine Hardwicke
Casting : Kristen Stewart, Robert Pattinson, Billy Burke, Ashley Greene, Nikki Reed, Jackson Rathbone
Éditeur : M6 Vidéo
BD : BD-50, 122', zone B
Genre : romance, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 08/07/09
Prix ind. : 29,99 €
sans Must AV
Critique

Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
2.35
HD 1 080p (Mpeg4 AVC)
16/9 natif
Bande-son
Français DTS-HD Master Audio 5.1
Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
Sous-titres
Français
Pourquoi chercher un petit copain lambda quand on a la chance de tomber sur un super-héros prêt à vous protéger, quitte à y laisser sa peau ou à sacrifier sa véritable nature de vampire ?

En quittant l’Arizona, cette région qui lui tenait tant à cœur, pour aller s’installer chez son père dans l’un des États les plus froids et pluvieux des États-Unis, Bella Swan (Kristen Stewart) est loin de s’imaginer qu’une rencontre hors du commun va chambouler sa petite vie de lycéenne bien tranquille.

Elle fait ainsi la connaissance d’Edward Cullen (Robert Pattinson), un jeune homme réservé, d’une beauté exceptionnelle, qui n’a rien de l’adolescent banal. Impressionnée par sa force et intriguée par son attitude décalée, Bella, déjà amoureuse de lui, va tenter de percer le mystère d’Edward et de chacun des membres de la famille Cullen.

Mythe du vampire revisité pour adolescentes en pleine crise bovarienne, Twilight rassemble tous les ingrédients du genre pour le transposer dans un monde ordinaire, celui du lycée et de ses flirts. Ce conte, qui se veut gothique mais qui ne s’attarde que sur son imagerie (irruption de loups, espace brumeux et forêt dense illustrés par une photographie oscillant entre le magique et le surfait, villa isolée au sommet d’une montagne, soleil nocif pour la peau de nos vampires), met en scène un Dracula juvénile, sex-symbol too much et métaphore efficace d’une sexualité adolescente en pleine éclosion.

Soit le grand mythe absorbé à son tour par une romance platonique (en apparence), si jamais on n’avait pas encore pigé que notre irrésistible vampire ne peut donner de baiser à Bella au risque de la dévorer et de révéler la nature refoulée de cette idylle, innocente a priori. Le fait de boire son sang étant, de toute évidence, la métaphore érotisée et indubitablement stokerienne de l’acte sexuel.

Au final, une distraction ultra-bien-ficelée qui tombe en plein dans le mille adolescent(e), faisant suite au succès interplanétaire des romans éponymes. Harry Potter, accroche-toi !
Carole Lépinay - Publié le 14/09/09

Cinécult' Frankenstein, et l’Homme créa la Bête :

« It’s alive ! », s’écria le baron Frankenstein en contemplant sa progéniture. Tout commence en 1816 par une nuit d’orage sur les rives du lac Léman. Mary Shelley, le poète Byron et quelques amis, occupent leurs veillées en se racontant des histoires de fantômes. Ce soir‑là, Byron propose d’inventer le récit le plus terrifiant possible. De leur joute oratoire naît Frankenstein (roman éponyme publié en 1818), le plus célèbre des mythes de la littérature et du cinéma fantastiques, talonné de près par son compagnon de toujours, Dracula.

Lire la suite
Bonus
- Commentaires audio de la réalisatrice Catherine Hardwicke et des acteurs Robert Pattinson et Kristen Stewart (122')
- Making of (54')
- Scènes en version longue (11')
- Séquences coupées (7')
- Le phénomène Comic-Con (10')
- Clips (15')
- Teasers (4')
- Bande-annonce (3')

Twilight dans tous ses états avec un bon quota de bonus, tantôt intéressants, tantôt superflus, sans oublier les commentaires audio du film, un brin anecdotiques.
Note bonus : 4/6
Image
Le DVD était déjà exceptionnel, mais là, c'est la claque. « The » claque même. Malgré les teints blafards, les ambiances diaphanes et le ciel constamment laiteux ou orageux, ça brille comme un Blu-Ray tout neuf. Un rendu magnifique de relief, de précision, de niveau de détail, de matière et de texture. Évidemment, nous n'avons décelé aucun défaut. Réellement splendide. Le plus beau Blu-Ray de l'été ?
Note image : 6/6
Son
Là encore, c'est parfait. On gagne évidemment en précision, en enveloppe sonore, en bruits d'ambiance, en dynamique, en précision, en clarté des dialogues, en relief et en punch. Mais grosse nouveauté par rapport au DVD, le caisson entre dans la danse et rythme avec efficacité les séquences les plus mouvementées, notamment la très belle partie de base-ball en plein orage. Les frappes sont sèches et vives comme l'éclair. On adore, surtout en VO, un poil plus précise dans les effets arrière que la VF.
Note son : 6/6


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