Loups-Garous
Werewolves Within
Année : 2021
Réalisateur : Josh Ruben
Interprètes : Sam Richardson, Milana Vayntrub, George Basil, Sarah Burns, Michael Chernus, Catherine Curtin
Éditeur : Metropolitan Film & Vidéo
BD : BD-50, 96', zone B
Genre : comédie horrifique, couleurs
Interdiction : tous publics (certaines scènes peuvent heurter)
Sortie : 19/08/21
Prix ind. : 19,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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2.35
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HD 1 080p (AVC)
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16/9
Bande-son
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Français DTS‑HD Master Audio 5.1
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Anglais DTS‑HD Master Audio 5.1
Fraîchement débarqué à Beaverfield, Finn (Sam Richardson), le nouveau garde‑forestier, fait la connaissance des résidents un peu spéciaux du patelin isolé et sous la neige. Un soir de tempête, ils se retrouvent tous coincés dans la seule auberge du coin, la tension monte et devient bientôt incontrôlable suite à la découverte d’un habitant tué par une mystérieuse créature.
Adapté du jeu vidéo éponyme (Werewolves Within pour le titre original) édité par Ubisoft en 2016, Loups‑Garous déroule les grosses ficelles d’une enquête qui n’est, de toute évidence, pas à la portée de ces habitants frappadingues, soit un couple de gay caricatural, une ménagère barrée flanquée d’un micro‑chien, un entrepreneur véreux ou encore ce bûcheron taiseux qui vit reclus dans sa cabane et bientôt considéré comme le suspect numéro un. Avec l’aide de Cecily (Milana Vaytrub), une employée de Poste plutôt mesurée comparée au panel d’autochtones haut en couleur, Finn, mi‑héros, mi‑branquignole, se lance dans une chasse aux loups‑garous parcourue d’épisodes complètement délirants. Un bon moment.
Carole Lépinay - Publié le 02/02/22
Liste des bonus
Commentaire
Aucun bonus et c'est bien dommage. Il y avait pourtant là un terreau formidable. On aurait bien vu par exemple une petite excursion dans les coulisses de la direction d'acteur. |
Image
Une image plutôt chouette, bien corsée (quasiment que des scènes sombres) et qui impose tout de suite l'ambiance hivernale et barrée du film. Contrastes, précision, rien à redire. Bienvenue à Beaverfield. |
Son
Beaucoup d'éléments sonores participent à la fantaisie de l'ensemble, à commencer par les dialogues, assez savoureux en mode tchatche non‑stop. Un ensemble ludique et dynamique qui se donne à fond sur les enceintes arrière. Attention aux voix françaises, elles ont cette fâcheuse tendance à être toutes sur le même plan sonore, pour un effet plus lissé et neutre. |