Hatchi
Hachiko: a Dog's Story
Année : 2009
Réalisateur : Lasse Hallström
Casting : Richard Gere, Joan Allen, Cary-Hiroyuki Tagawa, Sarah Roemer, Jason Alexander, Erick Avari
Éditeur : Metropolitan Film & Vidéo
BD : BD-50, 93', zone B
Genre : comédie dramatique, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 19/10/10
Prix ind. : 24,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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1.85
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HD 1 080p (AVC)
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16/9 natif
Bande-son
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Français DTS-HD Master Audio 5.1
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Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
La simple évocation de son nom, Lasse Hallström, devrait suffire à vous faire fuir, tant ce cinéaste suédois, de Gilbert Grappe à Ma vie de chien (auréolé à Cannes), n’a enchaîné que des puddings académiques. Hatchi, en dépit de sa star (Richard Gere), ne dépareillera pas au sommet de l’œuvre pâtissière de son auteur.
Parker, un prof de musique à l’université (Gere, donc), mène avec son chien Hatchi une vie quasi fusionnelle. Un soir, pourtant, Parker ne prend pas son train habituel et, dans les yeux de son fidèle compagnon, ne revient pas. Dès lors, chaque soir, Hatchi, sorte de Lassie au masculin, va attendre son maître, même heure, même quai, provoquant l’admiration des badauds de la guerre.
Inspiré d’une histoire vraie qui eut lieu au Japon dans les années 1930, à la gare Shibuya de Tokyo, Hatchi déroule toutes les ficelles du mélodrame sirupeux mais, soyons justes, Hallström tente parfois de s’en éloigner en recentrant son film sur le lien indéfectible et mystérieux qui unit un homme à son chien. Après une heure de petits câlins entre Gere et son toutou, une demi-heure de deuil, avec concert de violons et de mouchoirs. On croit rêver. Mais non.
Jean-Baptiste Thoret - Publié le 25/10/10
Bonus
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Making of (18') |
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Bandes-annonces |
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Lien Internet |
Il fallait s'y attendre : ce making of ne nous apprend rien de transcendant sur le film ou son tournage, et s'apparente plus à un segment promotionnel où tout le monde est beau, gentil et talentueux... |
Image
Expédions le seul menu défaut de cette image : des noirs parfois faiblards, mais cela reste assez rare. En dehors de ce léger désagrément, le résultat est magnifique : définition ciselée, couleurs finement retranscrites, compression indétectable... Du très joli travail. |
Son
Si la musique est répartie avec une grande finesse sur les différents canaux, les dialogues sont parfois trop en retrait. En règle générale, vu la nature très « calme » du film, il ne faut de toute façon pas attendre un déferlement sonore... |