Trop loin pour toi
Going the Distance
Année : 2010
Réalisateur : Nanette Burstein
Casting : Drew Barrymore, Justin Long, Charlie Day, Jason Sudeikis, Christina Applegate, Ron Livingston
Éditeur : Warner
DVD : DVD-9, 98', zone 2
Genre : comédie romantique, couleurs
Interdiction : tous publics
Sortie : 25/05/11
Prix ind. : 19,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
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2.35
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SD 576i (Mpeg2)
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16/9 compatible 4/3
Bande-son
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Français Dolby Digital 5.1
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Anglais Dolby Digital 5.1
Sous-titres
Français, anglais, néerlandais
Un soir dans un bar, Erin (Drew Barrymore) fait la connaissance de Garrett (Justin Long). Très vite les deux jeunes gans se rapprochent et vivent une histoire estivale. Mais la distance qui les sépare (chacun vit de part et d’autre du pays) compromet sérieusement leur idylle. Pour Erin et Garrett, il va falloir trouver des moyens de braver ces milliers de kilomètres. Le temps passe, l’énergie amoureuse s’étiole, les tentations et la lassitude gagnent peu à peu du terrain.
Afin de ne pas tomber dans les pièges de la comédie romantique standard (soit deux tourtereaux pourvus d’une mission programmée : faire face au quotidien, défier un(e) rival(e), etc.), Trop loin pour toi utilise la séparation kilométrique pour relifter un genre plus que suranné. Néanmoins, malgré la difficulté de la situation, le couple se croise assez régulièrement, ce qui, de fait, anéantit l’idée plutôt originale de départ et ensable le film dans des clichés prévisibles (de l’arrivée surprise à San Francisco à la jalousie paranoïaque sécrétée par les aléas de la séparation). Un attrape‑fleur‑bleue, sans conteste.
Carole Lépinay - Publié le 07/09/11
Bonus
L'humour répond toujours présent à travers les scènes coupées. On retrouve les personnages dans des situations drôles et extravagantes. |
Image
À l'inverse de l'édition Blu-Ray (cliquez ici pour accéder au test HD), le master n'impressionne pas vraiment. Le grain tape l'incruste sur la moindre séquence de nuit et valse avec un dégradé des noirs insuffisant, tandis que des soucis de saturation viennent ponctuellement agacer l'œil. On apprécie tout de même le choix des couleurs, qui participe pleinement à l'ambiance intimiste du film. |
Son
Si les voix françaises profitent (enfin !) d'une balance idéale voix/sons environnants, la qualité des doublages rend l'écoute du film un peu ardue... à moins d'être un détracteur de Justin Long et de se délecter de cette voix française pré‑pubère. La piste anglaise est quant à elle sans fioriture et profite de basses parfaitement ajustées. |