Cell 213
Année : 2011
Réalisateur : Stephen Kay
Casting : Eric Balfour, Bruce Greenwood, Michael Rooker, Deborah Valente, Conrad Coates, Marie-Josée Colburn
Éditeur : Universal
DVD : DVD-9, 105', zone 2
Genre : horreur, couleurs
Interdiction : tous publics (accord parental)
Sortie : 03/11/15
Prix ind. : 14,99 €
Critique
Test technique
Image :
Son :
Bonus :
Format image
•
2.35
•
SD 576i (Mpeg2)
•
16/9 compatible 4/3
Bande-son
•
Français Dolby Digital 5.1
•
Anglais Dolby Digital 5.1
Sous-titres
Français, anglais pour malentendants
Accusé du meurtre d’un client déséquilibré, l’avocat Michael Grey (Eric Balfour) est rapidement incarcéré. Ironie du sort : il occupe la cellule de ce dernier. Malmené par les prisonniers et un gardien de prison particulièrement sadique (Michael Rooker alias Henry, l’implacable serial‑killer du film de John McNaughton, 1986), Grey va pourtant connaître pire dans la cellule 213.
Cell 213 n’a d’ambitieux que son intention de réactiver le sempiternel conflit du Bien contre le Mal. Il rate néanmoins la cible de son vaste projet manichéen en misant sur un avocat fadasse rattrapé par ses fautes morales. Le dualisme religieux peine ainsi à pénétrer les murs de la 213, excepté les écritures anciennes qui s’y inscrivent comme par magie ou le chassé‑croisé d’apparitions sanguinolentes (encore une façon paresseuse d’introduire la menace de l’Au‑delà), censés terrifier Grey et nous avec. L’infortuné tentera même de se pendre, tandis que nous sortirons sans trop de séquelles de ce huis clos à clichés.
Carole Lépinay - Publié le 16/03/16
Bonus
Image
Les décors sont lugubres, les ambiances et les couleurs verdâtres, le montage saucissonné à l'extrême et l'ensemble affiche un petit grain ni franchement déplaisant ni très gracieux. |
Son
Même impression mitigée sur le plan sonore avec les classiques bruitages de la prison (le grincement des portes métalliques qui se ferment, la sonnerie qui résonne dans les couloirs, les hurlements des prisonniers, etc.). C'est fade et sans surprise. Et le soutien musical n'arrange rien. |