le 26 mars 2024 - 09h15

Bide Parade de la rédac : les pires séries du moment !

Notre Bide Parade revient pour une nouvelle fournée de séries à éviter de toute urgence, histoire de vous faire gagner un temps précieux de vie hors des écrans. Ne nous remerciez pas.

A
Homejacking saison 1

Monarch : Legacy of Monsters

La présence de Kurt Russell et les monstres géants plutôt bien faits ne compensent pas ce sentiment de Club des Cinq pour ados. L'intrigue tirée par les cheveux et à cheval sur les époques ne fonctionne pas et finit par nous perdre dans l'espace‑temps. La déprime pour les fans de kaijū eiga (les films de monstres japonais).

Disponible sur Prime Video

 



Furies

Le seul exploit de cette série d’action française opportuniste est de se planter dans les grandes largeurs sur tous les postes artistiques. Que ce soit le son, la lumière, la réalisation, le montage, les costumes, les décors, le casting ou le scénario, rien ne va dans ce maelström pondu par un algorithme malade dont on ressort essoré.

Disponible sur Netflix

 

Marina Foïs et Lina El Arabi dans Furies © Pascal Chantier/Netflix

Marina Foïs et Lina El Arabi dans Furies © Pascal Chantier/Netflix



La peste saison 1

Cette version pourtant modernisée du roman d'Albert Camus sent la naphtaline et la poussière à chaque épisode. Lente, désuète, peu probable et jouée comme dans l'arrière‑cour d'un théâtre communal, cette série du Service Public semble interminable. Quel ennui.

Disponible sur France TV

 

Sofia Essaïdi et Hugo Becker dans La peste

Sofia Essaïdi et Hugo Becker dans La peste


Knok saison 1 

Ce récit d’anticipation avec Sylvie Testud et Johann Cuny souffre d’un traitement qui a 20 ans de retard. Un ensemble laid et mal interprété avec des dialogues qui frisent l’amateurisme. On ne sait plus si c’est le premier, second ou le degré infini qui était recherché, mais on se dit que quelqu’un a perdu le thermomètre en route. Un humour qui tombe par‑dessus le marché souvent à plat.

Disponible sur 13ème rue à partir du 12 avril

 

Sylvie Testud et Johann Cuny dans Knok

Sylvie Testud et Johann Cuny dans Knok



Homejacking saison 1 

Vide et poseuse, cette première saison complexifie artificiellement une intrigue qui n’a strictement aucun intérêt si ce n’est de pouvoir être tournée dans un endroit unique pour faire des économies. Le problème, c’est que ça se voit dans toutes les étapes du traitement. Même si on sent bien que la vague intention de départ était de faire du Hitchcock malin, le résultat final est à des années‑lumière de la maîtrise du réalisateur des Oiseaux.

Disponible sur OCS Pulp à partir du 7 avril

 

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